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joues était comme la riche couleur rouge foncé d’une grenade (''like the deep rich colour of a pomegranat'') (p. 101) <ref name="Frere"/>.|90}}
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Le grand ouvrage de M. Edouard Chavannes, ''Cinq cents contes et apologues, extraits du Tripitaka chinois'', déjà plusieurs fois cité, nous fournit aussi un document qui est loin d’être sans importance (III, n° 381, et p. 355, note). Dans un des récits d’un livre bouddhique sanscrit, dont une traduction chinoise a été faite en l’an 710 de notre ère, l’épouse d’un roi de Bénarès met au monde un vrai fils de roi » : « le visage de cet enfant était régulier et majestueux ; son teint était ''rose et blanc''… » — Ce ne sont certainement pas les Chinois, ces ''jaunes'', qui auraient introduit dans l’original" indien ce teint « rose et blanc ».
Le grand ouvrage de M. Edouard Chavannes, ''Cinq cents contes et apologues, extraits du Tripitaka chinois'', déjà plusieurs fois cité, nous fournit aussi un document qui est loin d’être sans importance (III, n° 381, et p. 355, note). Dans un des récits d’un livre bouddhique sanscrit, dont une traduction chinoise a été faite en l’an 710 de notre ère, l’épouse d’un roi de Bénarès met au monde un vrai fils de roi » : « le visage de cet enfant était régulier et majestueux ; son teint était ''rose et blanc''… » — Ce ne sont certainement pas les Chinois, ces ''jaunes'', qui auraient introduit dans l’original indien ce teint « rose et blanc ».


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