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DE FRANCE III
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D’autres événements n’ont pas davantage accru le prestige de la politique ouvrière. Malgré l’opposition du Sénat, M. Millerand a voulu constituer par simple décret les « Conseils du Travail », sortes de comités mixtes où siègent à la fois les délégués des patrons et ceux des ouvriers. Rien de meilleur en principe. Seulement le ministre, dans son projet, n’admettait comme électeurs à ces conseils que les ouvriers syndiqués, c’est-à-dire une minorité de la population ouvrière. C’était un
( ’onseils du Travail et Retraites Ouvrières.
D’autres événements n’ont pas davantage accru
le prestige de la politique ouvrière. Malgré l’opposition
du Sénat, M. Millerand a voulu constituer
par simple décret les « Conseils du Travail »,
sortes de comités mixtes où siègent à la fois les
délégués des patrons et ceux des ouvriers. Rien
de meilleur en principe. Seulement le ministre,
dans son projet, n’admettait comme électeurs à
ces conseils que les ouvriers syndiqués, c’est-à-dire
une minorité de la population ouvrière. C’était un
moyen détourné d’amener les réfractaires à entrer
moyen détourné d’amener les réfractaires à entrer
danslessyndicats. Comme d’ailleurs, certaines attributions
danslessyndicats. Comme d’ailleurs, certaines attributions