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La France n’était donc plus gênée dans ses vues sur sa colonie. |
La France n’était donc plus gênée dans ses vues sur sa colonie. |
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Le Moniteur du 3 octobre (11 vendémiaire) publia la ''constitution '' de T. Louverture, qui venait d’arriver |
Le Moniteur du 3 octobre (11 vendémiaire) publia la ''constitution '' de T. Louverture, qui venait d’arriver par les États-Unis, avec ces seuls mots : « Nous ne garantissons pas l’authenticité de la constitution de Saint-Domingue que nous avons extraite des papiers américains. » |
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Celui du 4 contient l’analyse d’une brochure qui venait de paraître, publiée par Charles Esmangart, colon de Saint-Domingue. Il y concluait ''au maintien de la liberté des noirs, quoiqu’elle eût été faite avec précipitation ;'' qu’il serait ''aussi injuste qu’impolitique de revenir sur le principe de cette émancipation. '' Il faisait sentir néanmoins la nécessité d’établir à Saint-Domingue un gouvernement ''très-fort, '' de rétablir les colons dans leurs biens, de {{tiret|proté|ger}} |
Celui du 4 contient l’analyse d’une brochure qui venait de paraître, publiée par Charles Esmangart, colon de Saint-Domingue. Il y concluait ''au maintien de la liberté des noirs, quoiqu’elle eût été faite avec précipitation ;'' qu’il serait ''aussi injuste qu’impolitique de revenir sur le principe de cette émancipation. '' Il faisait sentir néanmoins la nécessité d’établir à Saint-Domingue un gouvernement ''très-fort, '' de rétablir les colons dans leurs biens, de {{tiret|proté|ger}} |