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les yeux. Je réglerai tout à l’heure mon compte avec vous. Regardez vos amis, Rikki-tikki. Ils sont immobiles et blancs… Ils sont épouvantés. Ils n’osent bouger. Et, si vous approchez d’un pas, je frappe. |
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— Allez regarder vos œufs, dit Rikki, dans la melonnière près du mur. Allez voir, Nagaina ! |
— Allez regarder vos œufs, dit Rikki, dans la melonnière près du mur. Allez voir, Nagaina ! |
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Le grand serpent se retourna à demi, et vit l’œuf sur le sol de la véranda. |
Le grand serpent se retourna à demi, et vit l’œuf sur le sol de la véranda. |
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— Ah-h ! Donnez-le-moi, dit-elle. |
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Rikki-tikki posa ses pattes de chaque côté de l’œuf, tandis que ses yeux devenaient rouge sang. |
Rikki-tikki posa ses pattes de chaque côté de l’œuf, tandis que ses yeux devenaient rouge sang. |
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— Quel prix pour un œuf de serpent ? |
— Quel prix pour un œuf de serpent ? Pour un jeune cobra ? Pour un jeune roi-cobra ? Pour le dernier — le dernier des derniers de la couvée ? Les fourmis sont en train de manger tous les autres par terre près des melons. |
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Nagaina pirouetta sur elle-même, oubliant tout le reste pour le salut de l’œuf unique ; et Rikki-tikki vit le père de Teddy avancer rapidement une large main, saisir Teddy par l’épaule et l’enlever par-dessus la table et les tasses à thé, à l’abri et hors de portée de Nagaina. |
Nagaina pirouetta sur elle-même, oubliant tout le reste pour le salut de l’œuf unique ; et Rikki-tikki vit le père de Teddy avancer rapidement une large main, saisir Teddy par l’épaule et l’enlever par-dessus la table et les tasses à thé, à l’abri et hors de portée de Nagaina. |
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— Volée ! Volée ! Volée ! Rikk-tck-tchk ! gloussa Tikki-tikki triomphant. L’enfant est sauf, et c’est |
— Volée ! Volée ! Volée ! ''Rikk-tck-tchk !'' gloussa Tikki-tikki triomphant. L’enfant est sauf, et c’est moi — moi — moi — qui mordis Nag au capuchon, la nuit dernière, dans la salle de bains. |
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Puis il se mit à sauter de tous côtés, des quatre pattes ensemble, revenant raser le sol de la tête. |
Puis il se mit à sauter de tous côtés, des quatre pattes ensemble, revenant raser le sol de la tête. |
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— Il m’a jeté de côté et d’autre, mais il n’a pas pu me faire lâcher prise. Il était mort avant que l’homme l’ait coupé en deux… C’est moi qui ai fait cela ! |
— Il m’a jeté de côté et d’autre, mais il n’a pas pu me faire lâcher prise. Il était mort avant que l’homme l’ait coupé en deux… C’est moi qui ai fait cela ! |
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