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barbe, quand il entendit la femme de Darzee crier à tue-tête : |
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— Rikki-tikki, j’ai conduit Nagaina du côté de la maison…, elle est entrée sous la véranda, et… oh ! venez vite… elle veut tuer ! |
— Rikki-tikki, j’ai conduit Nagaina du côté de la maison…, elle est entrée sous la véranda, et… oh ! venez vite… elle veut tuer ! |
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Teddy, sa mère et son père étaient là, devant leur déjeuner du matin. Mais Rikki-tikki vit qu’ils ne mangeaient rien. Ils se tenaient dans une immobilité de pierre, et leurs visages étaient blancs. Nagaina enroulée sur la natte, près de la chaise de Teddy, à distance commode pour atteindre la jambe nue du jeune garçon, se balançait de-ci, de-là, en chantant un chant de triomphe. |
Teddy, sa mère et son père étaient là, devant leur déjeuner du matin. Mais Rikki-tikki vit qu’ils ne mangeaient rien. Ils se tenaient dans une immobilité de pierre, et leurs visages étaient blancs. Nagaina enroulée sur la natte, près de la chaise de Teddy, à distance commode pour atteindre la jambe nue du jeune garçon, se balançait de-ci, de-là, en chantant un chant de triomphe. |
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— Fils de l’homme qui a tué Nag, sifflait-elle, reste tranquille… Je ne suis pas encore |
— Fils de l’homme qui a tué Nag, sifflait-elle, reste tranquille… Je ne suis pas encore prête. Attends un peu. Restez bien immobiles tous trois ! Si vous bougez je frappe… et si vous ne bougez pas, je frappe encore… Oh ! insensés, qui avez tué mon Nag ! |
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Les yeux de Teddy restaient fixés sur son père, et tout ce que son père pouvait faire était de murmurer : |
Les yeux de Teddy restaient fixés sur son père, et tout ce que son père pouvait faire était de murmurer : |
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— Reste tranquille, |
— Reste tranquille, Teddy. Il ne faut pas bouger. Teddy, reste tranquille. |
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C’est alors que Rikki-tikki arriva et cria : |
C’est alors que Rikki-tikki arriva et cria : |
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— Retournez-vous, Nagaina ; retournez-vous, et en garde ! |
— Retournez-vous, Nagaina ; retournez-vous, et en garde ! |
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— Chaque chose en son temps, dit-elle, sans remuer |
— Chaque chose en son temps, dit-elle, sans remuer |
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