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cricket même (qui en est un dérivé plus gl’Ossier) ; elle est plus
cricket même (qui en est un dérivé plus grossier) ; elle est plus
variée, plus amusante, plus facile à jouer passablement, aussi
variée, plus amusante, plus facile à jouer passablement, aussi
difficile à jouer supérieurement (<ref>M. Paschal Grousset avait tout à fait raison de préférer la paume au cricket et il indiquait fort bien les motifs de cette préférence. Mais la paume réunissait coûteusement un petit nombre de joueurs et, au point de vue éducatif, il lui était impossible de rivaliser avec le football. Aussi m’étais-je décidé en faveur de ce dernier.</ref>) et beaucoup mieux appropriée
difficile à jouer supérieurement (<ref>M. Paschal Grousset avait tout à fait raison de préférer la paume au cricket et il indiquait fort bien les motifs de cette préférence. Mais la paume réunissait coûteusement un petit nombre de joueurs et, au point de vue éducatif, il lui était impossible de rivaliser avec le football. Aussi m’étais-je décidé en faveur de ce dernier.</ref>) et beaucoup mieux appropriée à notre milieu naturel et social. J’avais déjà l’intention de saisir {{Img float
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à notre milieu naturel et social. J’avais déjà l’intention de saisir
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directement de ce projet le ministre de l’instruction publique et je n’attendais pour cela que le retour de M. A. Hébrard avec qui cette campagne du ''Temps'' a été combinée. Je n’ai pas besoin de vous dire, monsieur, combien nous serions heureux de l’appui de votre Comité s’il croyait devoir coopérer à notre démarche. Ce n’est pas d’hier que je m’occupe de cette question vitale comme vous le verrez quand je vous aurai dit que je suis l’auteur des livres signés André Laurie et que vous avez bien voulu citer dans votre brillante conférence du 15 juin. Veuillez agréer, monsieur le baron, avec tous mes remerciements, l’expression de mes sentiments les plus distingués. » Cette fort aimable lettre était signée : Paschal Grousset (Philippe Daryl). Je r épondis aussitôt que notre Comité, à la rentrée, examinerait très volontiers l’opportunité d’une démarche en faveur de la paume et je n’entendis plus parler de M. Grousset dont le nom, étant donné l’âge que j’avais au moment de la Commune, n’avait éveillé en moi, tout d’abord, que des
directement de ce projet le ministre de l’instruction publique et je n’attendais pour cela que le retour de M. A. Hébrard avec qui cette campagne du ''Temps'' a été combinée. Je n’ai pas besoin de vous dire, monsieur, combien nous serions heureux de l’appui de votre Comité s’il croyait devoir coopérer à notre démarche. Ce n’est pas d’hier que je m’occupe de cette question vitale comme vous le verrez quand je vous aurai dit que je suis l’auteur des livres signés André Laurie et que vous avez bien voulu citer dans votre brillante conférence du 15 juin. Veuillez agréer, monsieur le baron, avec tous mes remerciements, l’expression de mes sentiments les plus distingués. » Cette fort aimable lettre était signée : Paschal Grousset (Philippe Daryl). Je r épondis aussitôt que notre Comité, à la rentrée, examinerait très volontiers l’opportunité d’une démarche en faveur de la paume et je n’entendis plus parler de M. Grousset dont le nom, étant donné l’âge que j’avais au moment de la Commune, n’avait éveillé en moi, tout d’abord, que des
souvenirs imprécis. Il n’existe qu’un vague rapport, on l’avouera,
souvenirs imprécis. Il n’existe qu’un vague rapport, on l’avouera,