« Page:Revue des Deux Mondes - 1851 - tome 10.djvu/449 » : différence entre les versions
État de la page (Qualité des pages) | État de la page (Qualité des pages) | ||
- | + | Page validée | |
Contenu (par transclusion) : | Contenu (par transclusion) : | ||
Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
devant la boutique d’un bouquiniste, et là il passe les quelques instans dont il peut disposer à lire les poèmes de Byron et les œuvres de Béthune, poète de l’Ecosse. Il est si assidu, ses visites sont si ponctuelles, que le vieux bouquiniste Sandy Mackaye a fini par le remarquer, et un jour Alton entend une voix doucement grondeuse partir du fond de la boutique. |
{{tiret2|s’ar|rête}} devant la boutique d’un bouquiniste, et là il passe les quelques instans dont il peut disposer à lire les poèmes de Byron et les œuvres de Béthune, poète de l’Ecosse. Il est si assidu, ses visites sont si ponctuelles, que le vieux bouquiniste Sandy Mackaye a fini par le remarquer, et un jour Alton entend une voix doucement grondeuse partir du fond de la boutique. |
||