« Page:Revue des Deux Mondes - 1840 - tome 21.djvu/206 » : différence entre les versions

ThomasBot (discussion | contributions)
m Phe: split
 
Zoé (discussion | contributions)
État de la page (Qualité des pages)État de la page (Qualité des pages)
-
Page non corrigée
+
Page corrigée
Contenu (par transclusion) :Contenu (par transclusion) :
Ligne 2 : Ligne 2 :


On a rassemblé dans les pages suivantes un certain nombre de pensées qui ont paru plus ou moins analogues de forme ou d’esprit aux ''Maximes''. Si, au premier vent qu’on en eut, l’envie en prenait ''comme un rhume'' vers 1665, rien d’étonnant que nous l’ayons gagnée à notre tour par un long commerce avec le livre trop relu. Il faut y voir surtout un dernier hommage à l’auteur, et même d’autant plus grand qu’on aura moins réussi.
On a rassemblé dans les pages suivantes un certain nombre de pensées qui ont paru plus ou moins analogues de forme ou d’esprit aux ''Maximes''. Si, au premier vent qu’on en eut, l’envie en prenait ''comme un rhume'' vers 1665, rien d’étonnant que nous l’ayons gagnée à notre tour par un long commerce avec le livre trop relu. Il faut y voir surtout un dernier hommage à l’auteur, et même d’autant plus grand qu’on aura moins réussi.




I. Dans la jeunesse les pensées me venaient en sonnets, maintenant c’est en maximes.
I. Dans la jeunesse les pensées me venaient en sonnets, maintenant c’est en maximes.