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mer, et vraiment Penellan ne s’effrayait pas de la voir, au milieu de ces climats affreux, luttant contre les dangers des mers polaires.
<section begin="s1"/>mer, et vraiment Penellan ne s’effrayait pas de la voir, au milieu de ces climats affreux, luttant contre les dangers des mers polaires.


On décida donc, après de longues discussions, que la jeune fille accompagnerait l’expédition, et qu’il lui serait, au besoin, réservé une place dans le traîneau, sur lequel on construisit une petite hutte en bois, hermétiquement fermée. Quant à Marie, elle fut au comble de ses vœux, car il lui répugnait d’être éloignée de ses deux protecteurs.
On décida donc, après de longues discussions, que la jeune fille accompagnerait l’expédition, et qu’il lui serait, au besoin, réservé une place dans le traîneau, sur lequel on construisit une petite hutte en bois, hermétiquement fermée. Quant à Marie, elle fut au comble de ses vœux, car il lui répugnait d’être éloignée de ses deux protecteurs.
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Le départ fut fixé au lendemain.
Le départ fut fixé au lendemain.


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== IX. La maison de neige ==
<section begin="s2"/>{{t3|{{sc|la maison de neige}}|IX}}<br />


Le 23 octobre, à onze heures du matin, par une belle lune, la caravane se mit en marche. Les précautions étaient prises, cette fois, de façon que le voyage pût se prolonger longtemps, s’il le fallait. Jean Cornbutte suivit la côte, en remontant vers le nord. Les pas des marcheurs ne laissaient aucune trace sur cette glace résistante. Aussi Jean Cornbutte fut-il obligé de se guider au moyen de points de repère qu’il choisit au loin ; tantôt il marchait sur une colline toute hérissée de pics, tantôt sur un énorme glaçon que la pression avait soulevé au-dessus de la plaine.
Le 23 octobre, à onze heures du matin, par une belle lune, la caravane se mit en marche. Les précautions étaient prises, cette fois, de façon que le voyage pût se prolonger longtemps, s’il le fallait. Jean Cornbutte suivit la côte, en remontant vers le nord. Les pas des marcheurs ne laissaient aucune trace sur cette glace résistante. Aussi Jean Cornbutte fut-il obligé de se guider au moyen de points de repère qu’il choisit au loin ; tantôt il marchait sur une colline toute hérissée de pics, tantôt sur un énorme glaçon que la pression avait soulevé au-dessus de la plaine.
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