« À M. l’abbé Courtin » : différence entre les versions

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:::::Vient par un murmure enchanteur
:::::Tâcher d’endormir ma morale ;
:::::
</poem>
==[[Page:Œuvres de Chaulieu (Pissot 1777) - Tome 1.djvu/157]]==
<poem>
:::::Tu crois qu’avec avidité,
:::::Déjà l’Amour-propre enchanté
:::::Avale la délicatesse
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:::::Que je crois qu’il auroit dû naître
:::::Sur les rivages du Lignon ;
:::::
</poem>
==[[Page:Œuvres de Chaulieu (Pissot 1777) - Tome 1.djvu/158]]==
<poem>
:::::Et là, qu’on l’eût placé peut-être
:::::Entre la Fare et Céladon.
L’Amour fut-il jamais fait pour être durable ?
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Moi, qui sens qu’à grands pas la Vieillesse s’avance,
:::::Et qui, par mille changemens,
:::::
</poem>
==[[Page:Œuvres de Chaulieu (Pissot 1777) - Tome 1.djvu/159]]==
<poem>
:::::Connois déjà la décadence
:::::Qu’apporté le nombre des ans,
:::::Dans une douce nonchalance
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L’Avenir sur mon front n’excite aucun nuage,
:::::Et bien loin de craindre la mort,
:::::
</poem>
==[[Page:Œuvres de Chaulieu (Pissot 1777) - Tome 1.djvu/160]]==
<poem>
:::::Tant de fois battu par l’orage,
:::::Je la regarde comme un port
Où je n’essuierai plus tempête ni naufrage.