« Dimitri Roudine/8 » : différence entre les versions

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{{t3|VIII}}
 
 
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Roudine s’arrêta un instant.
 
— Ce que je vous ai dit hier, continua-t-il, peut, dans ma situation actuelle, se rapporter à moi jusqu’à un certain point. Mais, encore une fois, ce n’est pas la peine d’en parler. Ce côté de la vie a déjà disparu pour moi. Il ne me reste plus à présent qu’à me traîner, de relais en relais, sur des chemins déserts et couverts de poussière, dans une méchante téléga{{Refl|1}}<ref>Charrette à quatre roues et très légère. </ref> qui cahote. Où arriverai-je, si jamais j’arrive ? Dieu le sait… Parlons plutôt de vous.
 
— Il n’est pas possible, Dimitri Nicolaïtch, interrompit Natalie, que vous n’attendiez plus rien de la vie.
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Il s’était redressé, avait rejeté ses cheveux en arrière et s’était mis à marcher rapidement en agitant joyeusement ses bras.
 
À ce moment les branches s’entrouvraient dans le bosquet de lilas et Pandalewski se montrait. Il regarda avec précaution autour de lui, hocha la tête, pinça ses lèvres et dit d’une manière significative : « Oh ! c’est ainsi ! Il faut en prévenir Daria ». Et il disparut.
 
== Notes ==
{{Refa|1}}Charrette à quatre roues et très légère.
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