« Dimitri Roudine/1 » : différence entre les versions
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– Pourquoi pas ? certainement.
Alexandra Pawlowna entra dans la cabane. On y était à l’étroit, la chambre était enfumée, la chaleur suffocante… Quelqu’un s’agitait et gémissait sur le poêle
– Comment te sens-tu, Matrenne ? lui demanda-t-elle en s’inclinant sur le poêle.
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– Ah ! soupira la malade, ma belle dame, n’abandonne pas ma petite orpheline. Nos maîtres sont loin, et toi… La vieille se tut, tant elle éprouvait de difficulté à parler.
– Sois sans inquiétude, répondit Alexandra Pawlowna. Tout sera comme tu le désires. Je t’apporte ce qu’il faut pour faire du thé. Si tu en as envie, bois-en… Vous avez un samovar
– Un samovar ? Nous n’avons pas de samovar, mais nous pouvons en emprunter un.
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– Sois bien attentif, dit-elle au vieillard en s’en allant, à lui donner la potion telle qu’elle est prescrite, et fais-lui boire du thé.
Le vieux s’inclina. Alexandra Pawlowna respira plus librement en se retrouvant en plein air. Elle ouvrit son ombrelle et se disposait à retourner à la maison, quand un homme d’une trentaine d’années apparut subitement en tournant le coin de l’isba, conduisant un petit drochki
– Bonjour, dit-il, avec un sourire nonchalant ; je voudrais bien savoir ce que vous faites ici.
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Elle le prit et tous les deux suivirent la route de l’habitation.
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