« Mil huit cent trente-six » : différence entre les versions

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{{titrePoeme|[[Poésies (Hégésippe Moreau)|Poésies]]|Hégésippe Moreau|{{PAGENAME}}}}
[[Catégorie:XIXe siècle]]
 
==__MATCH__:[[Page:Œuvres de Hégésippe Moreau (Garnier, 1864).djvu/165]]==
 
{{t3|MIL HUIT CENT TRENTE-SIX}}
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Et, reniant ses dieux, ma lyre
A murmuré : Vive le roi !
</poem>
==[[Page:Œuvres de Hégésippe Moreau (Garnier, 1864).djvu/166]]==
<poem>
 
Quand un jury tue, à la face
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L’arme du siècle, c’est la plume,
Levier qu’Archimède a rêvé !
</poem>
==[[Page:Œuvres de Hégésippe Moreau (Garnier, 1864).djvu/167]]==
<poem>
Écrivons : quand pour la patrie
La plume de fer veille et crie
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Il sauva des flots l’une d’elles,
Et leurs amours lui sont fidèles…
</poem>
==[[Page:Œuvres de Hégésippe Moreau (Garnier, 1864).djvu/168]]==
<poem>
Donnez des lis, car il n’est plus !
Des lis, des pleurs, ô jeunes filles :
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Pour parfumer la claie infâme,
Des mains d’un ange ou d’une femme
</poem>
==[[Page:Œuvres de Hégésippe Moreau (Garnier, 1864).djvu/169]]==
<poem>
Quelques brins de lauriers pleuvoir.