« Festons et astragales/La Plainte d’une momie » : différence entre les versions
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<div class="text">{{titrePoeme|[[Festons et astragales]]|Louis Bouilhet|La Plainte d’une momie}}
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{{t4|La Plainte d’une momie}}
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Heureuse la chair pantelante
Sous l’ongle courbe des vautours !
</poem>
==[[Page:Bouilhet - Œuvres, 1880.djvu/57]]==
<poem>
« Heureux les morts qu’un vent d’orage
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Et les vers ont troué la planche,
Comme un crible à passer du grain.
</poem>
==[[Page:Bouilhet - Œuvres, 1880.djvu/58]]==
<poem>
« Sur ma poitrine recouverte
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Viens, sous l’azur du ciel splendide,
T’éparpiller dans l’univers !
</poem>
==[[Page:Bouilhet - Œuvres, 1880.djvu/59]]==
<poem>
« Nous t’emporterons par les plaines,
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Te retrouveront tout entière,
Comme un grain qui n’a pas germé.
</poem>
==[[Page:Bouilhet - Œuvres, 1880.djvu/60]]==
<poem>
« Et, sous quelque voûte enfumée,
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