« Les Renaissances/Lemerre, 1880/Le Passé » : différence entre les versions

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Ils passent au-dessus des tombes
Sans entendre couler les pleurs.
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==[[Page:Silvestre - Poésies 1866-1872, 1880.djvu/214]]==
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Pasteurs du blanc troupeau des rêves,
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Lis pur, étoile fraternelle...
Oh ! le beau chemin vers la mort !
</poem>
==[[Page:Silvestre - Poésies 1866-1872, 1880.djvu/215]]==
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Sous leurs pas la nue est ouverte :
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— A ceux qu’unit la même couche,
Dieu devrait le même sommeil.</poem>
==[[Page:Silvestre - Poésies 1866-1872, 1880.djvu/216]]==
 
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==[[Page:Silvestre - Poésies 1866-1872, 1880.djvu/217]]==
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L’AIR du soir emportait sous les feuillages sombres,
Comme un parfum du ciel, l’âme des voluptés ;
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La santé fleurissait sa beauté sans pareille,
Et je cherchais pourquoi l’onde pleurait déjà !</poem>
==[[Page:Silvestre - Poésies 1866-1872, 1880.djvu/218]]==
 
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Son haleine frissonne aux cimes des roseaux
Et me trouble, en passant, comme une voix qui pleure.
</poem>
==[[Page:Silvestre - Poésies 1866-1872, 1880.djvu/219]]==
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Sur le lac où j’ai vu descendre le soleil,
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==[[Page:Silvestre - Poésies 1866-1872, 1880.djvu/220]]==
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TRES-PALE et le front ceint de marguerites,
Ses grands yeux levés et qui, somnolents,