« Rosa Mystica/Livre troisième » : différence entre les versions

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Comme une aube éveillant l’espérance immortelle,
Donne, ô mystique fleur, donne l’oubli du mal
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==[[Page:Laprade - Les Symphonies - Idylles héroïques, Lévy, 1862.djvu/314]]==
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A l’ami douloureux qui prie et qui t’appelle.
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Que son cœur au mien s’associe
Pour des œuvres dignes de vous.
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==[[Page:Laprade - Les Symphonies - Idylles héroïques, Lévy, 1862.djvu/315]]==
<poem>
 
 
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A travers l’ombre, ou dans les flammes.
En marchant vers demain, jouissez d’aujourd’hui !
</poem>
==[[Page:Laprade - Les Symphonies - Idylles héroïques, Lévy, 1862.djvu/316]]==
<poem>
Premier degré du ciel, la terre a, comme lui,
Des lieux de repos pour les âmes.
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Comme elle aurait de plaisir
A saisir,
</poem>
==[[Page:Laprade - Les Symphonies - Idylles héroïques, Lévy, 1862.djvu/317]]==
<poem>
En frémissant sur sa tige,
Un souffle, au moins, plus vivant
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Mille fois
Répétant ces mots : Je t’aime !
</poem>
==[[Page:Laprade - Les Symphonies - Idylles héroïques, Lévy, 1862.djvu/318]]==
<poem>
 
 
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Ensemble ils viennent s’y pencher,
Mêlant
Mêlant noirs cheveux, boucles blondes ;
</poem>
==[[Page:Laprade - Les Symphonies - Idylles héroïques, Lévy, 1862.djvu/319]]==
<poem>
Mêlant noirs cheveux, boucles blondes ;
Leurs regards, prompts à se chercher,
Croisent deux éclairs sous les ondes.
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Battez de l’aile ! on entend
Deux soupirs, à chaque instant,
</poem>
==[[Page:Laprade - Les Symphonies - Idylles héroïques, Lévy, 1862.djvu/320]]==
<poem>
Se confondre.
Voici le bruit d’un baiser ;
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L’odeur du ciel ;
Toute larme dont je l’arrose
Y fait son miel.
</poem>
==[[Page:Laprade - Les Symphonies - Idylles héroïques, Lévy, 1862.djvu/321]]==
<poem>
son miel.
 
C’est mon bon ange ! elle se voue
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Et, comme un nuage, il m’enlève
Dans le ciel bleu.
</poem>
==[[Page:Laprade - Les Symphonies - Idylles héroïques, Lévy, 1862.djvu/322]]==
<poem>
 
Ce mystique parler que j’aime
Dans son ardeur,
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Dieu nous a poussés l’un vers l’autre,
Il a sur nous d’heureux desseins ;desse
</poem>
==[[Page:Laprade - Les Symphonies - Idylles héroïques, Lévy, 1862.djvu/323]]==
<poem>
ins ;
Aimons, pour sa gloire et la nôtre,
Aimons comme ont aimé les saints.
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Je voyais tout, jadis, comme à travers un rêve
Où l’on flotte indécis sur un vague sentier ;se
</poem>
==[[Page:Laprade - Les Symphonies - Idylles héroïques, Lévy, 1862.djvu/324]]==
<poem>
ntier ;
Mais tout prend forme et vie au soleil qui se lève ;
Je sens de mon chaos jaillir un monde entier.
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Loin des hommes, plus tu m’entraînes
Vers ces sommets couronnés d’or,
</poem>
==[[Page:Laprade - Les Symphonies - Idylles héroïques, Lévy, 1862.djvu/325]]==
<poem>
Plus, dans ces régions sereines,
Plus je voudrais monter encor.
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Elle aspire aux grands sommets ;
Des sens éteignez la flamme
</poem>
==[[Page:Laprade - Les Symphonies - Idylles héroïques, Lévy, 1862.djvu/326]]==
<poem>
Avec l’onde et le dictame
Et le miel que je promets.
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Vous cache aux regards du monde,
Mais vous laisse voir à Dieu.
</poem>
==[[Page:Laprade - Les Symphonies - Idylles héroïques, Lévy, 1862.djvu/327]]==
<poem>
 
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Frappant le noir essaim, comme un rayon vainqueur,
Ce soleil a chassé les oiseaux de ténèbres,
Et l’aube du vrai jour se lève dans mon cœur.mo
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==[[Page:Laprade - Les Symphonies - Idylles héroïques, Lévy, 1862.djvu/328]]==
<poem>
n cœur.
 
Je vois mes horizons et mes regards s’étendre ;
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Béatrix, ô lumière, à toi de me conduire !
Ne me retire pas ce rayon qui m’a lui ;
</poem>
==[[Page:Laprade - Les Symphonies - Idylles héroïques, Lévy, 1862.djvu/329]]==
<poem>
C’est par l’échelle d’or de ton pieux sourire
Que Dieu descend vers moi, que je monte vers lui.
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L’aumône seule et la prière
Auront accès dans ce saint lieu
</poem>
==[[Page:Laprade - Les Symphonies - Idylles héroïques, Lévy, 1862.djvu/330]]==
<poem>
lieu
Pour rester à toi plus entière,
Je veux être toute à mon Dieu.
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Et j’irai, pour ma récompense,
M’asseoir, là-haut, plus près de toi.
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==[[Page:Laprade - Les Symphonies - Idylles héroïques, Lévy, 1862.djvu/331]]==
<poem>
 
 
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Vous savez bien qu’un soir je dois venir encore
Vous enlever tous deux vers l’ineffable aurore,
Dans les bras de la mort.l
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==[[Page:Laprade - Les Symphonies - Idylles héroïques, Lévy, 1862.djvu/332]]==
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a mort.
 
Endormis et flottants sur mon souffle paisible,
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Qu’on fuit et sans revenir,
Emportez-la tout humide,
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==[[Page:Laprade - Les Symphonies - Idylles héroïques, Lévy, 1862.djvu/333]]==
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Comme un guide,
Cette fleur du souvenir.