« L’Évangile des champs » : différence entre les versions

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Que la parole en nous luit plus vive et plus pure.
Dans le silence, alors, du monde et de tout bruit
L’intime symphonie en nos cœurs se construit ;
</poem>
==[[Page:Laprade - Poèmes évangéliques, Lévy, 1860.djvu/158]]==
<poem>
;
L’âme, ayant écarté ce que l’homme interpose,
Entend la voix de Dieu sortir de toute chose ;
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Oui, ton livre, ô Nature, à l’impie est fermé :
La foi seule y pénètrpénètre ;
</poem>
==[[Page:Laprade - Poèmes évangéliques, Lévy, 1860.djvu/160]]==
<poem>
 
e ;
Pour guider le regard sur ce texte animé,
Il faut le doigt du Maître.
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Puisque l’univers est un livre
Écrit pour les yeux innoceninnocents,
</poem>
==[[Page:Laprade - Poèmes évangéliques, Lévy, 1860.djvu/163]]==
<poem>
ts,
Seigneur, quand son attrait m’enivre,
Rends plus purs mon âme et mes sens.
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Qu’en tout son être, alors s’élève
Un cri sublime et débordant,
Étouffant
</poem>
==[[Page:Laprade - Poèmes évangéliques, Lévy, 1860.djvu/167]]==
<poem>
Étouffant les bruits de la grève,
Tel que la mer haute et grondant,