« L’Évangile des champs » : différence entre les versions

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==__MATCH__:[[Page:Laprade - Poèmes évangéliques, Lévy, 1860.djvu/157]]==
 
 
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Que la parole en nous luit plus vive et plus pure.
Dans le silence, alors, du monde et de tout bruit
L’intime symphonie en nos cœurs se construit ;
</poem>
==[[Page:Laprade - Poèmes évangéliques, Lévy, 1860.djvu/158]]==
<poem>
;
L’âme, ayant écarté ce que l’homme interpose,
Entend la voix de Dieu sortir de toute chose ;
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A la sainte parole en nos âmes semblable.
Ici, le blé du ciel, l’espoir du pain nouveau.
</poem>
==[[Page:Laprade - Poèmes évangéliques, Lévy, 1860.djvu/159]]==
<poem>
Meurt faute d’une larme et d’une goutte d’eau ;
Ici, le grain germa, l’épi déjà s’annonce,
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Oui, ton livre, ô Nature, à l’impie est fermé :
La foi seule y pénètre ;pénètr
</poem>
==[[Page:Laprade - Poèmes évangéliques, Lévy, 1860.djvu/160]]==
<poem>
e ;
Pour guider le regard sur ce texte animé,
Il faut le doigt du Maître.
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Aux doux bruits du feuillage il s’est bercé parfois,.
En ses loisirs frivoles ;
</poem>
==[[Page:Laprade - Poèmes évangéliques, Lévy, 1860.djvu/161]]==
<poem>
Jamais il n’a cueilli, dans le secret des bois,
La fleur des paraboles.
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Jamais son œil, des cieux sondant l’infinité,
Dans l’azur ne s’élance ;
</poem>
==[[Page:Laprade - Poèmes évangéliques, Lévy, 1860.djvu/162]]==
<poem>
L’oreille de son cœur n’a jamais écouté
Les accords du silence.
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Puisque l’univers est un livre
Écrit pour les yeux innocents,innocen
</poem>
==[[Page:Laprade - Poèmes évangéliques, Lévy, 1860.djvu/163]]==
<poem>
ts,
Seigneur, quand son attrait m’enivre,
Rends plus purs mon âme et mes sens.
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Et les contours des monts austères,
Et, sur les gazons diaprés,
</poem>
==[[Page:Laprade - Poèmes évangéliques, Lévy, 1860.djvu/164]]==
<poem>
Le sens des mille caractères
Que les fleurs tracent dans les prés ;
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Hélas ! les grandes harmonies,
Le vent, les mers et les forêts
</poem>
==[[Page:Laprade - Poèmes évangéliques, Lévy, 1860.djvu/165]]==
<poem>
Ne sont que larmes infinies,
Ou des craintes, ou des regrets.
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Loin de moi toute vaine image
Faite pour le plaisir des yeux ;
</poem>
==[[Page:Laprade - Poèmes évangéliques, Lévy, 1860.djvu/166]]==
<poem>
Que chaque fleur, dans mon langage.
Cache un parfum mystérieux.
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Qu’en tout son être, alors s’élève
Un cri sublime et débordant,
Étouffant les bruits de la grève,
</poem>
==[[Page:Laprade - Poèmes évangéliques, Lévy, 1860.djvu/167]]==
<poem>
les bruits de la grève,
Tel que la mer haute et grondant,