« Les Œuvres de la Foi » : différence entre les versions

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==__MATCH__:[[Page:Laprade - Poèmes évangéliques, Lévy, 1860.djvu/147]]==
 
 
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Vient au cœur de Jésus frapper plus fortement.
Et la foi sait ravir, forçant Dieu, s’il hésite,
Le don miraculeux que l’amour sollicite.sollicit
</poem>
==[[Page:Laprade - Poèmes évangéliques, Lévy, 1860.djvu/148]]==
<poem>
e.
C’est la Chananéenne et son cœur obstiné,
Et l’espoir maternel jamais déraciné ;
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— « Seigneur ! » — d’un ton soumis,
Dit-elle ; — « aux petits chiens du moins il est permis
«
« De manger à vos pieds les miettes de la table. »
</poem>
==[[Page:Laprade - Poèmes évangéliques, Lévy, 1860.djvu/149]]==
<poem>
« De manger à vos pieds les miettes de la table. »
 
Et Jésus, reprenant son dessein véritable :
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— « Non, je ne suis pas digne, »
Reprit l’humble étranger, — « pour cette guérison,
« De vous voir, ô Seigneur, entrer dans ma maison ;
</poem>
==[[Page:Laprade - Poèmes évangéliques, Lévy, 1860.djvu/150]]==
<poem>
;
« Mais dites seulement ! du mal qui nous désole,
« Vous guérirez cette âme avec une parole ! »
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Que les plaisirs du monde au cœur qui ne croit pas.
L’ennui suffit chez l’un pour souffler le blasphème ;
Plus l’autre est torturé, mon Dieu ! plus il vous aime ;ai
</poem>
==[[Page:Laprade - Poèmes évangéliques, Lévy, 1860.djvu/151]]==
<poem>
me ;
Plus il voit resplendir, adorant vos desseins,
Le trône qui l’attend là-haut, parmi les saints ;
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L’homme seul hésite, examine ;
Lui que votre verbe illumine,
Il nie en face du soleil !solei
</poem>
==[[Page:Laprade - Poèmes évangéliques, Lévy, 1860.djvu/152]]==
<poem>
l !
 
La foi, la foi seule est féconde ;
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La foi, bien mieux que la boussole,
Conduit les cœurs et les vaisseaux.
</poem>
==[[Page:Laprade - Poèmes évangéliques, Lévy, 1860.djvu/153]]==
<poem>
Le martyr que la foi console
Des lions brave les assauts.
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Un mirage m’appelle à des sources lointaines ;
Mais l'onde, au loin, recule ou tarit devant moi.mo
</poem>
==[[Page:Laprade - Poèmes évangéliques, Lévy, 1860.djvu/154]]==
<poem>
i.
De tout humain savoir, j’ai goûté les fontaines,
Et j’en ai rapporté la soif de votre foi.
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Vous m’entendrez, Seigneur, car je pleure et j’espère !
J’élève à vous mon cœur par le monde abattu.
J’espère ! et votre loi, tendre comme une mère,
</poem>
==[[Page:Laprade - Poèmes évangéliques, Lévy, 1860.djvu/155]]==
<poem>
et votre loi, tendre comme une mère,
De la douce espérance a fait une vertu.