« Imitation de Jésus-Christ/Livre 4/Chapitre 4 » : différence entre les versions

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==__MATCH__:[[Page:Corneille - Imitation de Jésus-Christ, édition 1862.djvu/641]]==
 
<center>'''Que ceux qui communient dévotement en reçoivent de grands biens.'''</center>
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que versent dans les cœurs tes bénédictions ;
joins à la pureté de leurs impressions
 
</poem>
==[[Page:Corneille - Imitation de Jésus-Christ, édition 1862.djvu/642]]==
<poem>
tout ce que le respect et le zèle ont de force ;
donne-moi les moyens d’approcher dignement
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c’est ton saint institut, c’est l’œuvre de ta main,
qui passe de bien loin toute notre prudence.
</poem>
==[[Page:Corneille - Imitation de Jésus-Christ, édition 1862.djvu/643]]==
<poem>
Il n’est point de mortel qui puisse concevoir
ce qui n’est pas même au pouvoir
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trouve en un Dieu crucifié
l’océan où sans cesse il s’écoule et s’abîme ;
 
</poem>
==[[Page:Corneille - Imitation de Jésus-Christ, édition 1862.djvu/644]]==
<poem>
et que tout autre attrait, effacé par le tien,
me laisse abhorrer comme un crime
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que l’espérance a de quoi croître,
et que la charité s’enflamme et s’élargit.
</poem>
==[[Page:Corneille - Imitation de Jésus-Christ, édition 1862.djvu/645]]==
<poem>
Puissant réparateur des misères humaines,
protecteur de mon âme, espoir de tous ses voeux,
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Tu leur fais de la sorte éprouver que d’eux-mêmes
leur force est peu de chose, ou plutôt moins que rien ;
 
</poem>
==[[Page:Corneille - Imitation de Jésus-Christ, édition 1862.djvu/646]]==
<poem>
que s’ils ont quelque grâce, ou s’ils font quelque bien,
ils en doivent le tout à tes bontés suprêmes ;
Ligne 123 ⟶ 142 :
jusqu’à rassasier la soif qui me dévore,
je collerai ma bouche au canal précieux
 
</poem>
==[[Page:Corneille - Imitation de Jésus-Christ, édition 1862.djvu/647]]==
<poem>
que tu fais descendre des cieux,
afin que dans mon cœur une goutte en distille,
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quand nous appelant tous à toi,
ta bouche toute sainte a bien voulu nous dire :
" accourez
" accourez tous à moi, vous dont sous les travaux
</poem>
==[[Page:Corneille - Imitation de Jésus-Christ, édition 1862.djvu/648]]==
<poem>
" accourez tous à moi, vous dont sous les travaux
le cœur incessamment soupire,
et je soulagerai la grandeur de vos maux. "