« Imitation de Jésus-Christ/Livre 3/Chapitre 48 » : différence entre les versions

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==__MATCH__:[[Page:Corneille - Imitation de Jésus-Christ, édition 1862.djvu/532]]==
 
<center>'''Du jour de l’éternité, et des angoisses de cette vie.'''</center>
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il n’en tombe sur nous que des rayons voilés ;
l’éloignement confond ou dissipe l’image
 
</poem>
==[[Page:Corneille - Imitation de Jésus-Christ, édition 1862.djvu/533]]==
<poem>
de ce qui s’en échappe au travers d’un nuage,
et tout ce qu’à nos yeux il est permis d’en voir,
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et le pauvre a pour comble encor sa pauvreté.
Quand verrai-je, seigneur, finir tant de supplices ?
</poem>
==[[Page:Corneille - Imitation de Jésus-Christ, édition 1862.djvu/534]]==
<poem>
Quand cesserai-je d’être un esclave des vices ?
Quand occuperas-tu, toi seul, mon souvenir ?
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où toujours je me trouve en pays ennemi,
où rien ne me console après avoir gémi,
 
</poem>
==[[Page:Corneille - Imitation de Jésus-Christ, édition 1862.djvu/535]]==
<poem>
où de mon triste exil les suites importunes
ne sont qu’affreux combats et longues infortunes.
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et la foible partie est celle qui prévaut.
Que je souffre, seigneur, quand mon âme élevée
 
</poem>
==[[Page:Corneille - Imitation de Jésus-Christ, édition 1862.djvu/536]]==
<poem>
jusqu’aux pieds de son dieu qui l’a faite et sauvée,
un damnable escadron de sentiments honteux
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viens, céleste douceur, viens occuper la place,
et toute impureté fuira devant ta face.
</poem>
==[[Page:Corneille - Imitation de Jésus-Christ, édition 1862.djvu/537]]==
<poem>
Cependant fais-moi grâce, et ne t’offense pas
si dans le vrai chemin je fais quelques faux pas,
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si je le mets au ciel, il m’est doux d’y penser ;
si je le mets au monde, il m’y sait rabaisser ;
 
</poem>
==[[Page:Corneille - Imitation de Jésus-Christ, édition 1862.djvu/538]]==
<poem>
de ses prospérités je fais mon allégresse,
et ses coups de revers excitent ma tristesse.
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sur le mépris du monde élevant ses souhaits,
il t’offre une oraison, il t’offre des louanges
 
=== no match ===
dignes de se mêler à celles de tes anges,
puisqu’en lui ton amour par ses divins transports