« Imitation de Jésus-Christ/Livre 3/Chapitre 35 » : différence entre les versions
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<center>'''Que durant cette vie on n’est jamais en sureté contre les tentations.'''</center>
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demande à ta vertu de vigoureux apprêts ;
mais il te faut surtout l’écu de patience
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==[[Page:Corneille - Imitation de Jésus-Christ, édition 1862.djvu/477]]==
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qui te dérobe entier aux pointes de leurs traits.
Que de tous côtés il te couvre,
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Si durant une vie où rien n’est perdurable,
tu te rends amoureux de la tranquillité,
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==[[Page:Corneille - Imitation de Jésus-Christ, édition 1862.djvu/478]]==
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oseras-tu prétendre à ce calme ineffable
que gardent les trésors de mon éternité ?
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C’est par de tels sentiers qu’enfin la patience
à la haute vertu guide un nouveau soldat ;
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==[[Page:Corneille - Imitation de Jésus-Christ, édition 1862.djvu/479]]==
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c’est par cette fâcheuse et rude expérience
qu’il trouve un diadème au sortir du combat.
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et que pour l’obtenir les gênes temporelles
n’avoient point de condignité.
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==[[Page:Corneille - Imitation de Jésus-Christ, édition 1862.djvu/480]]==
<poem>
As-tu droit de vouloir dès les moindres alarmes,
toi qui n’es en effet qu’ordure et que péché,
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