« Imitation de Jésus-Christ/Livre 3/Chapitre 16 » : différence entre les versions

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==__MATCH__:[[Page:Corneille - Imitation de Jésus-Christ, édition 1862.djvu/379]]==
 
<center>'''Que les véritables consolations ne se doivent chercher qu’en Dieu.'''</center>
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adoucissent les maux dont mon âme est pressée ;
mais, hélas ! Après tout, j’ai beau m’en figurer,
 
</poem>
==[[Page:Corneille - Imitation de Jésus-Christ, édition 1862.djvu/380]]==
<poem>
j’ai beau les desirer,
ce n’est point en ces lieux que je les dois attendre :
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des biens encor plus grands que tu ne t’imagines,
et que le ciel pour toi garde comme en dépôt.
</poem>
==[[Page:Corneille - Imitation de Jésus-Christ, édition 1862.djvu/381]]==
<poem>
Ce lâche abaissement aux douceurs temporelles,
que le siècle fait trop goûter,
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tu t’y dois figurer un amas de vrais biens,
tel que les vrais chrétiens
 
</poem>
==[[Page:Corneille - Imitation de Jésus-Christ, édition 1862.djvu/382]]==
<poem>
dans leurs plus longs travaux attendent sans murmure ;
un avant-goût délicieux,
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des consolations humaines.
" qu’au défaut même de la tienne,
 
</poem>
==[[Page:Corneille - Imitation de Jésus-Christ, édition 1862.djvu/383]]==
<poem>
j’en trouve dans ta volonté,
dont la juste sévérité