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Allouma (la main gauche)
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|'''Allouma'''</br>''L'Écho de Paris'', 10 et 15 février 1889
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|[[Hautot père et fils ]]
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__NOEDITSECTION__
I
 
 
Un de mes amis m’avait dit : Si tu passes par hasard aux environs de Bordj-Ebbaba, pendant ton voyage, en Algérie, va donc voir mon ancien camarade Auballe, qui est colon là-bas.
==I==
 
 
{{indentation}}Un de mes amis m’avait dit : Si tu passes par hasard aux environs de Bordj-Ebbaba, pendant ton voyage, en Algérie, va donc voir mon ancien camarade Auballe, qui est colon là-bas.
 
J’avais oublié le nom d’Auballe et le nom d’Ebbaba, et je ne songeais guère à ce colon, quand j’arrivai chez lui, par pur hasard.
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Une heure plus tard, ma belle Arabe était installée dans une grande chambre claire ; et comme je venais m’assurer que tout allait bien, elle me demanda, d’un ton suppliant, de lui faire cadeau d’une armoire à glace. Je promis, puis je la laissai accroupie sur un tapis du Djebel-Amour, une cigarette à la bouche, et bavardant avec la vieille Arabe que j’avais envoyé chercher, comme si elles se connaissaient depuis des années.
 
 
II
 
 
==II==
 
 
 
Pendant un mois, je fus très heureux avec elle et je m’attachai d’une façon bizarre à cette créature d’une autre race, qui me semblait presque d’une autre espèce, née sur une planète voisine.
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– Mon Dieu, oui. Avec les femmes il faut toujours pardonner… ou ignorer.
 
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[[Catégorie:Contes et Nouvelles de Maupassant]]
[[Catégorie:1889]]