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<poem>Guebres, chrétiens, Chinois, prêtres, bonzes, derviche ;
{{métrifieur|Guebres, chrétiens, Chinois, prêtres, bonzes, derviche ;
Si chacun doit fêter sa vierge ou son fétiche,
Si chacun doit fêter sa vierge ou son fétiche,
Si le sort des vivants est de fuir le repos,
Si le sort des vivants est de fuir le repos,
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Je porte mon offrande au tombeau du poëte :
Je porte mon offrande au tombeau du poëte :
Voltaire a tous mes vœux, son culte est immortel ;
Voltaire a tous mes vœux, son culte est immortel ;
Vainqueur de tous les saints, il en purgea le ciel
Vainqueur de tous les saints, il en purgea le ciel

À ces mots d’un coursier guidant le pas docile,
{{corr|A|À}} ces mots d’un coursier guidant le pas docile,
J’abandonne aux neuf sœurs, mon studieux asyle ;
J’abandonne aux neuf sœurs, mon studieux asyle ;
Je salue en passant cet aîné des fauxbourgs
Je salue en passant cet aîné des fauxbourgs
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Que Téray pour Cypris sut bâtir à nos frais ;
Que Téray pour Cypris sut bâtir à nos frais ;
Enfin de Romilli je découvris la vue ;
Enfin de Romilli je découvris la vue ;
J’admirai de son parc la superbe avenue,
J’admirai de son parc la superbe avenue,|sauf_premier=vrai}}
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