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Albertine ! et là-bas flottait ta jeune tête, |
Albertine ! et là-bas flottait ta jeune tête, |
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Sous le calvaire en fleurs ; et |
Sous le calvaire en fleurs ; et c’était loin du soir ! |
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Et ma voix bondissante avait dit : Est-ce fête ? |
Et ma voix bondissante avait dit : Est-ce fête ? |
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Ô joie ! est-ce demain que Dieu passe et |
Ô joie ! est-ce demain que Dieu passe et s’arrête ? |
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Et tu |
Et tu m’avais crié : « Tu vas voir ! tu vas voir ! » |
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{{Titre3ModePage|{{uc|Abnégation}}}} |
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==ABNÉGATION == |
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Qui sait si vivre |
{{épigraphe|Qui sait si vivre n’est pas mourir, et si là-bas on ne croit pas que mourir c’est vivre ?|Euripide.}} |
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Euripide. |
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Si solitaire, hélas ! et puis si peu bruyante, |
Si solitaire, hélas ! et puis si peu bruyante, |
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Tenant si peu |
Tenant si peu d’espace, on me l’envie encor : |
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Cette pensée est triste, elle entraîne à la mort ; |
Cette pensée est triste, elle entraîne à la mort ; |
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Et, pour |
Et, pour s’en reposer, la tombe est attrayante ! |
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