« Page:Perrault - Histoires ou contes du temps passé, avec des moralitez, 1697.djvu/35 » : différence entre les versions

Phe-bot (discussion | contributions)
Wuyouyuan: split
 
État de la page (Qualité des pages)État de la page (Qualité des pages)
-
Page non corrigée
+
Page corrigée
Contenu (par transclusion) :Contenu (par transclusion) :
Ligne 1 : Ligne 1 :
les autres assis. Il entre dans une chambre toute dorée, & il voit sur un lit, dont les rideaux estoient ouverts de tous costez, le plus beau spectacle qu’il eut jamais veu : une princesse qui paroissoit avoir quinze ou seize ans, & dont l’éclat resplendissant avoit quelque chose de lumineux & de divin. Il s’approcha en tremblant & en admirant, & se mit à genoux auprés d’elle.
{{tiret2|de|bout}}, les autres assis ; il entre dans une chambre toute dorée, & il voit sur un lit, dont les rideaux estoient ouverts de tous costez, le plus beau spectacle qu’il eut jamais veu : Une Princesse qui paroissoit avoir quinze ou seize ans, & dont l’éclat resplendissant avoit quelque chose de lumineux & de divin. Il s’approcha en tremblant & en admirant, & se mit à genoux auprés d’elle.
Alors, comme la fin de l’enchantement estoit venuë,

Alors, comme la fin de l’enchantement estoit venuë, la princesse s’éveilla, et, le regardant