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Napoléone, pour mieux fermer les yeux et les oreilles, s’était déjà blottie dans sa couchette. Chacun se hâta de regagner son lit, et, vers neuf heures, tout le monde était endormi à l’intérieur de la ''Belle-Roulotte'', en dépit des fracas de la foudre et du sifflement des rafales.
Napoléone, pour mieux fermer les yeux et les oreilles, s’était déjà blottie dans sa couchette. Chacun se hâta de regagner son lit, et, vers neuf heures, tout le monde était endormi à l’intérieur de la ''Belle-Roulotte'', en dépit des fracas de la foudre et du sifflement des rafales.


Kayette seule ne dormait pas. Elle ne s’était point déshabillée, et, bien que très fatiguée, n’aurait pu trouver un instant de sommeil. Une profonde inquiétude l’envahissait, lorsqu’elle songeait que la sécurité de ses compagnons était confiée à
Kayette seule ne dormait pas. Elle ne s’était point déshabillée, et, bien que très fatiguée, n’aurait pu trouver un instant de sommeil. Une profonde inquiétude l’envahissait, lorsqu’elle songeait que la sécurité de ses compagnons était confiée à la garde des deux matelots russes. Aussi, une heure après, voulant se rendre compte de ce qu’ils faisaient, elle souleva le rideau de la petite fenêtre, au-dessus de sa couchette, et regarda à la lueur des éclairs.

la garde des deux matelots russes. Aussi, une heure après, voulant se rendre compte de ce qu’ils faisaient, elle souleva le rideau de la petite fenêtre, au-dessus de sa couchette, et regarda à la lueur des éclairs.


Ortik et Kirschef, qui causaient, venaient d’interrompre leur conversation, et se dirigeaient vers l’entrée de la gorge, où un homme se montrait en ce moment.
Ortik et Kirschef, qui causaient, venaient d’interrompre leur conversation, et se dirigeaient vers l’entrée de la gorge, où un homme se montrait en ce moment.