« La Fille du régiment » : différence entre les versions

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::Où tu dormais paisiblement…,
 
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Comment, plus gai ?… Mais je le saissuis toujours !…
 
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Comme ça, nous sommes les cieuxdeux plus vieux grenadiers du régiment !…
 
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Mes amis, nous cria un vieil officier qui était à notre tète…tête… Il est resté à Eylau celui-là !… « Mes amis, c’est le ciel qui nous donne cet enfant… il sera le nôtre… » et il t’élevait dans ses bras… nous agitions nos shakos au bout de nos fusils, en répétant : « Oui ! oui !… notre enfant… » et le régiment t’adopta… et tu fus baptisée sur le champ de bataille… où nous t’avions trouvée… et voilà comme tu es devenue la fille du vingt-unième.
 
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