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La barque, elle, vogue toujours sous les yeux de Dieu,
Er vag, hi, e ya’taü cliclan deulegacl Doui,
Rassemblés autour des voiles, les Anges la conduisent,
Tro d’er gouêlíeu tolpet, en Eleci hé hondui ;
Sainte Anne, vraie mère, adoucit le vent, Et ils
Santêz Anna, guir vam, e zousa en aùél,
vont ainsi, sans peur dans la nuit ténébreuse. &nbsp;. &nbsp;. &nbsp;. &nbsp;. &nbsp;.
Ha mont e rant èlsé, hep son en noz téoél.—Labourerion
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er mor, michéreríon lcalet,


Travailleurs de la mer, durs ouvriers, Quel cœur
Peh lralon e zo d’ol1, ha penaos e liellet
avez-vous donc et comment pouvez-vous Rester ainsi
Cluomel èlsê bamclé ên ankên, er marù memb P...
chaque jour dans l’angoisse, la mort même ? « Nous
’ « Ni’gred ê Doué Hon tacl, ha Ean a ra nerh d’emb ! »
croyons en Dieu notre Père, et il nous donne de l’énergie ! »
1905.
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La barque, elle, vogue toujours sous les yeux de Dieu,
Rassemblês autour cles voiles, les Anges la conclussent,
Sainte Anne, vraie mère, adoucir le vent, Et ils
vont ainsi, sans peur dans la nuit ténébreuse- - - - - - - -.
Travailleurs Je la mer, durs ouvriers, Quel cœur
avez-vous donc et comment pouvez-vous -’ Rester ainsi
chaque jour dans l’angoisse, la mort même ?... « Nous
croyons en Dieu notre Père, et il nous clonne de l’énergie ! >>
1905.