« Marie Tudor (Victor Hugo) » : différence entre les versions
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Jane, seule.
Mon dieu ! Comment faire ? C’est moi qui l’ai perdu, c’est à moi de le sauver. Je ne pourrai jamais. Une femme, cela ne peut rien.
L’échafaud ! L’échafaud ! C’est horrible ! Allons, plus de larmes, des actions. Ayez pitié de moi, mon Dieu ! On vient, je crois. Qui parle là ? Je reconnais cette voix. C’est la voix de la reine. Ah ! Tout est perdu ! (Elle se cache derrière un pilier.
et Simon Renard.)
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