« Page:Gibbon - Histoire de la décadence et de la chute de l'Empire romain, traduction Guizot, tome 2.djvu/132 » : différence entre les versions
mAucun résumé des modifications |
m Modification, de [ [w: ... ]] à {{hdcer| ... }} |
||
Contenu (par transclusion) : | Contenu (par transclusion) : | ||
Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
{{tiret2|conces|sion}} nécessaire, avait probablement sauvé sa patrie, |
{{tiret2|conces|sion}} nécessaire, avait probablement sauvé sa patrie, |
||
devint l’objet du mépris et de l’aversion générale. |
devint l’objet du mépris et de l’aversion générale. |
||
{{hdcer|Hostilien|Hostilien}} avait été enlevé au milieu des ravages de la |
|||
{{hdcer|peste|peste}} ; on imputa sa mort à {{hdcer|Gallien|Gallus}} <ref>Pour la peste, ''voyez'' {{hdcer|Jordanès|Jornandès}}, c. 19 ; et {{hdcer|Aurelius Victor|Victor}}, ''in Cæsaribus''. </ref> ; le cri de la haine attribua même la défaite de {{hdcer|Dèce|Dèce}} aux conseils |
|||
perfides de son odieux successeur <ref>Ces accusations improbables sont rapportées par |
perfides de son odieux successeur <ref>Ces accusations improbables sont rapportées par {{hdcer|Zosime (historien)|Zo{{corr|z|s}}ime}}, l. {{rom|i}}, p. 23, 24.</ref>. La tranquillité |
||
que Rome goûta la première année de son administration <ref>Jornandès, c. 19. L’écrivain goth a du moins observé la paix que ses compatriotes victorieux avaient jurée à Gallus. </ref> servit plutôt à enflammer qu’à apaiser le |
que Rome goûta la première année de son administration <ref>Jornandès, c. 19. L’écrivain goth a du moins observé la paix que ses compatriotes victorieux avaient jurée à Gallus. </ref> servit plutôt à enflammer qu’à apaiser le |
||
mécontentement public ; et, dès que le danger de |
mécontentement public ; et, dès que le danger de |
||
Ligne 14 : | Ligne 14 : | ||
Barbares, enhardis par le succès de leurs compatriotes, et ne se croyant pas enchaînés par les mêmes |
Barbares, enhardis par le succès de leurs compatriotes, et ne se croyant pas enchaînés par les mêmes |
||
traités, répandirent la désolation dans les provinces |
traités, répandirent la désolation dans les provinces |
||
de l’ |
de l’{{hdcer|Illyrie|Illyrie}}, et portèrent la terreur jusqu’au pied |
||
du |
du {{hdcer|Capitole|Capitole}}. Un gouverneur de {{hdcer|Pannonie|Pannonie}} et de {{hdcer|Mésie|Mœsie}} |
||
entreprit la défense de l’état, que paraissait {{tiret|abandon|ner}} |
entreprit la défense de l’état, que paraissait {{tiret|abandon|ner}} |