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{{t5|§. II. ''Des Arbres & Arbustes épineux, propres aux Provinces du nord.''}}
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L’{{RozierL|AUBEPIN|It}}, (''voyez'' ce mot) tient sans contredit le premier rang, il se prête à toutes les formes que l’on désire, se garnit de beaucoup de petites branches, mais il faut, pendant les premières années, le garantir, par des haies mortes, de la dent des troupeaux, & on ne peut espérer avoir une bonne clôture qu’à la huitième ou à la dixième année.
L’{{RozierL|AUBÉPIN|''aubepin''}}, (''voyez'' ce mot) tient sans contredit le premier rang, il se prête à toutes les formes que l’on désire, se garnit de beaucoup de petites branches, mais il faut, pendant les premières années, le garantir, par des haies mortes, de la dent des troupeaux, & on ne peut espérer avoir une bonne clôture qu’à la huitième ou à la dixième année.


Le {{RozierL|PRUNELIER|It}} tient le second rang, le rosier sauvage le troisième, l’{{RozierL|ÉPINE-VINETTE|It}} vient ensuite avec le {{RozierL|GROSEILLIER|It}} épineux, (''voyez'' ces mots). La meilleure de toutes les haies seroit sans contredit celle faite avec le houx, si la lenteur de sa végétation ne s’opposoit aux désirs que les propriétaires ont de jouir.
Le {{RozierL|PRUNELIER|It}} tient le second rang, le rosier sauvage le troisième, l’{{RozierL|ÉPINE-VINETTE|It}} vient ensuite avec le {{RozierL|GROSEILLIER|It}} épineux, (''voyez'' ces mots). La meilleure de toutes les haies seroit sans contredit celle faite avec le houx, si la lenteur de sa végétation ne s’opposoit aux désirs que les propriétaires ont de jouir.