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le joug de cette indolence servile à laquelle les |
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mœurs et le climat de l’Asie assujettissaient son |
mœurs et le climat de l’Asie assujettissaient son |
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sexe |
sexe <ref>Presque tout ce que l’on rapporte des mœurs de Zénobie et d’[[:w:Odénat|Odenat]] est pris dans l’[[:w:Histoire Auguste|''Hist. Aug.'']], où leurs vies ont été écrites par [[:w:Trebellius Pollio|Trebellius-Pollion]]. ''Voy''. p. 192, 198.</ref>. Elle se disait descendue des anciens rois |
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macédoniens qui régnèrent en Égypte : sa beauté |
macédoniens qui régnèrent en Égypte : sa beauté |
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égalait celle de [[:w:Cléopâtre VII|Cléopâtre]], et elle surpassait de bien |
égalait celle de [[:w:Cléopâtre VII|Cléopâtre]], et elle surpassait de bien |
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loin cette princesse en valeur et en chasteté |
loin cette princesse en valeur et en chasteté <ref>Elle ne recevait jamais les caresses de son mari que dans la vue d’avoir des enfans. Si ses espérances étaient trompées, elle faisait un nouvel essai le mois suivant.</ref>. <span class="ws-noexport">{{Notedemarge|marge=right|largeur=50|taille=80%|text=Sa beauté et son érudition.}}</span>{{ancre|ch 11.26}}Élevée au-dessus de son sexe par ses qualités éminentes, |
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Zénobie était encore la plus belle des femmes. Elle |
Zénobie était encore la plus belle des femmes. Elle |
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avait (car en parlant d’une femme, ces bagatelles |
avait (car en parlant d’une femme, ces bagatelles |