« Page:Tolstoï - L’Esprit chrétien et le patriotisme.djvu/17 » : différence entre les versions

Nanashi8 (discussion | contributions)
m {{tiret2|l’état-|major}}
Contenu (par transclusion) :Contenu (par transclusion) :
Ligne 1 : Ligne 1 :
{{tiret2|état-|major}} de l’escadre française. Au bruit des coups de canon et au son des cloches, les officiers se serrèrent amicalement les mains. Une musique exécutait l’Hymne russe, couvert par les cris de : « Vive le tsar ! vive la Russie ! » Les témoins de cette scène rapportent qu’à ce moment l’enthousiasme de l’énorme foule fut à son comble, et que les mots ne sauraient rendre les sentiments qui emplissaient les cœurs de tous les assistants. L’amiral Avelane, tête nue, s’avança, suivi des officiers russes et français, jusqu’au bâtiment de la direction maritime, où l’attendait le ministre de la marine.
{{tiret2|l’état-|major}} de l’escadre française. Au bruit des coups de canon et au son des cloches, les officiers se serrèrent amicalement les mains. Une musique exécutait l’Hymne russe, couvert par les cris de : « Vive le tsar ! vive la Russie ! » Les témoins de cette scène rapportent qu’à ce moment l’enthousiasme de l’énorme foule fut à son comble, et que les mots ne sauraient rendre les sentiments qui emplissaient les cœurs de tous les assistants. L’amiral Avelane, tête nue, s’avança, suivi des officiers russes et français, jusqu’au bâtiment de la direction maritime, où l’attendait le ministre de la marine.


« En recevant l’amiral, le ministre dit : « Cronstadt et Toulon, ces deux villes témoignent de la sympathie qui existe
« En recevant l’amiral, le ministre dit : « Cronstadt et Toulon, ces deux villes témoignent de la sympathie qui existe