« Grands névropathes (Cabanès)/Tome 3/2 » : différence entre les versions

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« Oui, poète, s’écrie Prosper Alpanus, tu es bien plus parfait que ne l’imaginent la plupart de ceux à qui tu as communiqué tes essais… »
 
Petit et contrefait, Hoffmann gardait rancune à la nature de cette disgrâce physique : n’est-il pas d’observation courante que les nains sont d’une susceptibilité, d’une irritabilité que l’{{Corr|exiguité|exiguïté}} de
 
=== no match ===
==__MATCH__:[Page:Cabanès - Grands névropathes, Tome III, 1935.djvu/15]]==
Corr|exiguité|exiguïté}} de leur taille contribue sans cesse à exaspérer ? Hoffmann n’a pas fait exception à la règle : « Cet atome, toujours agité et tourbillonnant, écrit Arvède Barine, avait l’humeur extrêmement mobile ; il riait, pleurait, se fâchait, se consolait dans la même minute, et le tout avec explosion. »
 
Son tempérament d’artiste entendait ne s’asservir à aucune règle ; mais un bon oncle veillait qui, lui, prétendait bien contrarier ces instincts d’indépendance et de fantaisie.