« Page:Verne - La Jangada, 1881, t1.djvu/189 » : différence entre les versions

→‎Page non corrigée : Page créée avec « XIII TORRÈS A cinq heures du soir, Fragoso était encore là, n’en pouvant plus, et il se demandait s’il ne serait pas obligé de passer la nuit pour satisfaire... »
 
Aucun résumé des modifications
Contenu (par transclusion) :Contenu (par transclusion) :
Ligne 2 : Ligne 2 :
TORRÈS
TORRÈS
A cinq heures du soir, Fragoso était encore là,
À cinq heures du soir, Fragoso était encore là, n’en pouvant plus, et il se demandait s’il ne serait pas obligé de passer la nuit pour satisfaire la foule des expectants.

n’en pouvant plus, et il se demandait s’il ne serait
En ce moment, un étranger arriva sur la place, et, voyant toute cette réunion d’indigènes, il s’avança vers l’auberge.
pas obligé de passer la nuit pour satisfaire la foule

des expectants.
Pendant quelques instants, cet étranger regarda Fragoso attentivement avec une certaine circonspection. Sans doute, l’examen le satisfit, car il entra dans la loja.
En ce moment, un étranger arriva sur la place,

et, voyant toute cette réunion d’indigènes, il s’avança
C’était un homme âgé de trente-cinq ans environ. Il portait un assez élégant costume de voyage, qui faisait valoir les agréments de sa personne. Mais sa forte barbe noire, que les ciseaux n’avaient pas dû
vers l’auberge.
Pendant quelques instants, cet étranger regarda
Fragoso attentivement avec une certaine circonspection.
Sans doute, l’examen le satisfit, car il entra
dans la loja.
C’était un homme âgé de trente-cinq ans environ.
Il portait un assez élégant costume de voyage, qui
faisait valoir les agréments de sa personne. Mais sa
forte barbe noire, que les ciseaux n’avaient pas dû
l - il