« Page:Verne - La Jangada, 1881, t1.djvu/44 » : différence entre les versions

Aucun résumé des modifications
Aucun résumé des modifications
Contenu (par transclusion) :Contenu (par transclusion) :
Ligne 1 : Ligne 1 :


exploitation de caoutchouc, où un bon ouvrier gagnait, à cette époque, cinq ou six piastres <ref>Environ {{unité,30,francs}}, paye qui s'élevait autrefois à {{unité,100,francs}}<ref/> par jour, et pouvait espérer devenir patron, pour peu que la chance le favorisât ; mais Magalhaës lui fit justement observer que, si la paye était forte, on ne trouvait de travail dans les seringals qu’au moment de la récolte, c’est-à-dire pendant quelques mois seulement ce qui ne pouvait constituer une position stable, telle que le jeune homme devait la désirer.
exploitation de caoutchouc, où un bon ouvrier gagnait, à cette époque, cinq ou six piastres par jour, et pouvait espérer devenir patron, pour peu que la chance le favorisât ; mais Magalhaës lui fit justement observer que, si la paye était forte, on ne trouvait de travail dans les seringals qu’au moment de la récolte, c’est-à-dire pendant quelques mois seulement ce qui ne pouvait constituer une position stable, telle que le jeune homme devait la désirer.


<ref>Environ {{unité,30,francs}}, paye qui s'élevait autrefois à {unité,100,francs}}<ref/>
Le Portugais avait raison. Joam Garral le comprit,

et il eatra résolument, au s service de la ; fazenda,
Le Portugais avait raison. Joam Garral le comprit, et il entra résolument, au s service de la ; fazenda,
décidé à lui consacrer toutes ses forces. ’ ,
décidé à lui consacrer toutes ses forces. ’ ,
,Magalhaés,n!eut pas à se repentir de sa bonne
,Magalhaés,n!eut pas à se repentir de sa bonne