« La Petite Roque (recueil)/Édition Conard, 1910/Les Caresses » : différence entre les versions

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{{TitreChapitreNav|[[{{PAGENAME}}Guy de Maupassant]]<br|Les Caresses|14 août 1883, /><brin />''dansGil Blas''|[[Un duel]]|[[Contes divers (1883)|Contes divers]]|[[Guy deL’Orient (Maupassant)|L’Orient]]|1883}}
 
 
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Avez-vous oublié les vers de Musset :
 
:Je me souviens encore de ces spasmes terribles,
:De ces baisers muets, de ces muscles ardents,
 
:De cet être absorbé, blême et serrant les dents.
De ces baisers muets, de ces muscles ardents,
:S’ils ne sont pas divins, ces moments sont horribles.
 
De cet être absorbé, blême et serrant les dents.
 
S’ils ne sont pas divins, ces moments sont horribles.
 
Cette sensation d’horreur et d’insurmontable dégoût, nous l’éprouvons aussi quand, emportés par l’impétuosité du sang, nous nous laissons aller aux accouplements d’aventure. Mais quand une femme est pour nous l’être d’élection, de charme constant, de séduction infinie que vous êtes pour moi, la caresse devient le plus ardent, le plus complet et le plus infini des bonheurs.
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14 août 1883
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