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maîtres d’établir.
maîtres d’établir.


<span class="ws-noexport">{{Notedemarge|marge=right|largeur=50|text={{corr|Et a|A}}rticles du traité.}}</span>{{ancre|ch13.43}}Dès que cette difficulté eut été levée, une paix
<span class="ws-noexport">{{Notedemarge|marge=right|largeur=50|text={{corr|Et a|A}}rticles du traité.}}</span>{{ancre|ch 13.43}}Dès que cette difficulté eut été levée, une paix
solennelle fut conclue et ratifiée entre les deux nations. Les conditions d’un [[:w:Paix de Nisibe|traité si glorieux]] pour
solennelle fut conclue et ratifiée entre les deux nations. Les conditions d’un [[:w:Paix de Nisibe|traité si glorieux]] pour
l’empire, et devenu si nécessaire aux Perses, méritent une attention d’autant plus particulière, que
l’empire, et devenu si nécessaire aux Perses, méritent une attention d’autant plus particulière, que
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terminées par une conquête absolue, ou entreprises
terminées par une conquête absolue, ou entreprises
contre des Barbares qui ignoraient l’usage des lettres.
contre des Barbares qui ignoraient l’usage des lettres.
<span class="ws-noexport">{{Notedemarge|marge=right|largeur=50|text=L’Aboras fixé comme limite des deux empires.}}</span>{{ancre|ch13.44}}1°. L’Aboras, appelé l’Araxe dans [[:w:Xénophon|Xénophon]], fut
<span class="ws-noexport">{{Notedemarge|marge=right|largeur=50|text=L’Aboras fixé comme limite des deux empires.}}</span>{{ancre|ch 13.44}}1°. L’Aboras, appelé l’Araxe dans [[:w:Xénophon|Xénophon]], fut
désigné comme la limite des deux monarchies (<ref>Par une erreur du géographe [[:w:Claude Ptolémée|Ptolémée]], la position de Singara est transportée de l’Aboras au Tigre ; ce qui a peut-être occasionné la méprise de [[:w:Pierre le Patrice |Pierre Patrice]], qui assigne la dernière rivière comme la limite de l’empire, au lieu de la première. La ligne de la frontière romaine traversait le cours du Tigre, mais elle ne le suivit jamais.</ref>).
désigné comme la limite des deux monarchies (<ref>Par une erreur du géographe [[:w:Claude Ptolémée|Ptolémée]], la position de Singara est transportée de l’Aboras au Tigre ; ce qui a peut-être occasionné la méprise de [[:w:Pierre le Patrice |Pierre Patrice]], qui assigne la dernière rivière comme la limite de l’empire, au lieu de la première. La ligne de la frontière romaine traversait le cours du Tigre, mais elle ne le suivit jamais.</ref>).
Cette rivière, qui prend sa source près du [[:w:Tigre (fleuve)|Tigre]],
Cette rivière, qui prend sa source près du [[:w:Tigre (fleuve)|Tigre]],