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[[:w:Hostilien|Hostilien]] avait été enlevé au milieu des ravages de la
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[[:w:peste|peste]] ; on imputa sa mort à [[:w:Constantius Gallus|Gallus]] (<ref>Pour la peste, voyez [[:w:Jordanès|Jornandès]], c. 19 ; et [[:w:Aurelius Victor|Victor]], ''in Cœsaribus''. </ref>) ; le cri de la haine attribua même la défaite de [[:w:Dèce|Dèce]] aux conseils
[[:w:peste|peste]] ; on imputa sa mort à [[:w:Constantius Gallus|Gallus]] (<ref>Pour la peste, voyez [[:w:Jordanès|Jornandès]], c. 19 ; et [[:w:Aurelius Victor|Victor]], ''in Cœsaribus''. </ref>) ; le cri de la haine attribua même la défaite de [[:w:Dèce|Dèce]] aux conseils
perfides de son odieux successeur (<ref>Ces accusations improbables sont rapportées par [[:w:Zosime (historien)|Zo{{corr|z|s}}ime]], l. {{sc|i}}, p. 23, 24.</ref>). La tranquillité
perfides de son odieux successeur (<ref>Ces accusations improbables sont rapportées par [[:w:Zosime (historien)|Zo{{corr|z|s}}ime]], l. {{rom|i}}, p. 23, 24.</ref>). La tranquillité
que Rome goûta la première année de son administration (<ref>Jornandès, c. 19. L’écrivain goth a du moins observé la paix que ses compatriotes victorieux avaient jurée à Gallus. </ref>) servit plutôt à enflammer qu'à apaiser le
que Rome goûta la première année de son administration (<ref>Jornandès, c. 19. L’écrivain goth a du moins observé la paix que ses compatriotes victorieux avaient jurée à Gallus. </ref>) servit plutôt à enflammer qu'à apaiser le
mécontentement public ; et, dès que le danger de
mécontentement public ; et, dès que le danger de