« Page:Stendhal - Mémoires d’un Touriste, II, Lévy, 1854.djvu/73 » : différence entre les versions
→Page non corrigée : Page créée avec « {{nr||MÉMOIRES D’UN TOURISTE.|67}} sûr de communiquer avec les Anglais. L'on peut dire que le courage plutôt ''civil'' que militaire des hommes de sens qui curent... » |
Aucun résumé des modifications |
||
Contenu (par transclusion) : | Contenu (par transclusion) : | ||
Ligne 9 : | Ligne 9 : | ||
l'Empire ! Vienne, Berlin, Moscou, Madrid, n'avaient pas encore |
l'Empire ! Vienne, Berlin, Moscou, Madrid, n'avaient pas encore |
||
vu les grenadiers français. Qu'on juge par 1815 de ce qu'aurait |
vu les grenadiers français. Qu'on juge par 1815 de ce qu'aurait |
||
fit le parti émigré, plus jeune de vingt ans |
fit le parti émigré, plus jeune de vingt ans en 1795. |
||
J'ai vivement regretté de n'avoir pas avec moi le volume de |
J'ai vivement regretté de n'avoir pas avec moi le volume de |
||
Ligne 16 : | Ligne 16 : | ||
j'ai demandé à voir un tableau représentant cet incendie, qui |
j'ai demandé à voir un tableau représentant cet incendie, qui |
||
est, dit-on, à l'hôtel de ville; l'homme chargé de le garder est |
est, dit-on, à l'hôtel de ville; l'homme chargé de le garder est |
||
absent : c'est presque toujours ce qui arrive en |
absent : c'est presque toujours ce qui arrive en province ; tout |
||
monument qui n'est pas sur la voie publique est perdu pour le |
monument qui n'est pas sur la voie publique est perdu pour le |
||
voyageur ; et si j'étais un héros, je voudrais que ma statue fût |
voyageur ; et si j'étais un héros, je voudrais que ma statue fût |