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rêva leur amour ; les ombrages des platanes touffus, entremêlés de lierre abondant ; les grottes où les timides chevreuils se réfugient aux jours brûlants ; l’éclat, le mouvement, le murmure des feuilles ; le bruit sonore de mille voix ; l’haleine parfumée de mille plantes ; la voluptueuse ardeur du milieu du jour ; les nuits toujours humides d’une rosée odorante ; les étoiles du ciel, brillantes comme le regard et les yeux des jeunes Géorgiennes. Mais hormis une froide |
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rêva leur amour ; les ombrages des platanes |
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touffus, entremêlés de lierre abondant ; les |
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grottes où les timides chevreuils se réfugient |
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aux jours brûlants ; l’éclat, le mouvement, le murmure des feuilles ; le bruit sonore de mille voix ; |
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l’haleine parfumée de mille plantes ; la voluptueuse ardeur du milieu du jour ; les nuits toujours humides d’une rosée odorante ; les étoiles |
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du ciel, brillantes comme le regard et les yeux |
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des jeunes Géorgiennes. Mais hormis une froide |
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jalousie, cette nature splendide n’éveilla dans |
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voyait devant lui, il le méprisait et le détestait. |
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Cette grande demeure, ce palais spacieux, le vieux Gudal aux cheveux blancs les a bâtis pour lui. Ils ont coûté bien des larmes, bien des fatigues aux esclaves soumis depuis longtemps à ses ordres. Au lever du jour, les ombres de ses murailles s’allongent sur les pentes des montagnes voisines. Des marches creusées dans le roc conduisent de la tour, placée à l’un des angles, au bord de la rivière. C’est en suivant |
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Cette grande demeure, ce palais spacieux, le |
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vieux Gudal aux cheveux blancs les a bâtis pour |
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lui. Ils ont coûté bien des larmes, bien des fatigues aux esclaves soumis depuis longtemps à |
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ses ordres. Au lever du jour, les ombres de ses |
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murailles s’allongent sur les pentes des montagnes voisines. Des marches creusées dans le |
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roc conduisent de la tour, placée à l’un des |
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angles, au bord de la rivière. C’est en suivant |