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« Personne ne t’a vu ? m’a dit doucement |
« Personne ne t’a vu ? m’a dit doucement Viéra en se serrant vers moi. |
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Viéra en se serrant vers moi. |
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— Personne. |
— Personne. |
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— Crois-tu maintenant que je t’aime ? Oh ! |
— Crois-tu maintenant que je t’aime ? Oh ! j’ai longtemps hésité, j’ai souffert longtemps… Tu fais de moi tout ce que tu veux. » |
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j’ai longtemps hésité, j’ai souffert longtemps…… Tu fais de moi tout ce que tu veux. » |
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Son cœur battait bien fort ; ses mains étaient froides comme de la glace. Les reproches jaloux et les plaintes ont commencé, elle a exigé que je lui avouasse tout ; elle m’a dit qu’elle supporterait ma trahison avec résignation, parce qu’elle n’a qu’un désir, c’est de me voir heureux. Je n’ai point cru le moins du monde à cela, mais je l’ai tranquillisée par mes serments, mes promesses, etc. |
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Son cœur battait bien fort ; ses mains étaient |
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froides comme de la glace. Les reproches jaloux |
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et les plaintes ont commencé, elle a exigé que je |
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lui avouasse tout ; elle m’a dit qu’elle supporterait ma trahison avec résignation, parce qu’elle |
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n’a qu’un désir, c’est de me voir heureux. Je |
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n’ai point cru le moins du monde à cela, mais |
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je l’ai tranquillisée par mes serments, mes promesses, etc. |
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« Ainsi tu n’épouseras pas Marie ? tu ne l’aimes pas ? |
« Ainsi tu n’épouseras pas Marie ? tu ne l’aimes pas ?… mais elle le croit… Sais-tu qu’elle est folle de toi ? la pauvre enfant ! » |
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Vers deux heures après minuit, j’ai ouvert la fenêtre, et à l’aide de deux châles réunis j’ai pu, en m’accrochant à une colonne, descendre du balcon en bas. Il y avait encore de la lumière chez la jeune princesse. Quelque chose m’a poussé vers cette fenêtre ; le rideau n’était pas |
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Vers deux heures après minuit, j’ai ouvert |
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la fenêtre, et à l’aide de deux châles réunis j’ai |
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pu, en m’accrochant à une colonne, descendre |
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du balcon en bas. Il y avait encore de la lumière |
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chez la jeune princesse. Quelque chose m’a |
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poussé vers cette fenêtre ; le rideau n’était pas |
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