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296 I.A- BIBLE D AMIESS 2. A, h&Patience ayant un bœuf sur son bouclier (ne recalant jamais)*. ■ 2. B. La Colère^. — Uns femme perçant ^n homme d'une épiSo, La colère est essentiellement un vice féminin. — Un homme, digne d'être appelé ainsi, peut être conduit à la fureur on à Sa démence par Vindignation (Voir le Prince Noir à Limoges), maïs non par la- eolfere. 11 peut être alors assez infernal, — ;• Enflammé .d'indignation, Satan restait sans peur — » mais dans ce dernier mot est ladîfférence, il y a autant de crainte dans la colère qu'il y en a dans la Jiaine. 3. A. La Douceur porte un agneau^ sur son écu. 3. B. La Qi-ûssièretë, encore une femme, envoyant un nombre des historiettes que les prédicateurs aimaient à raconter à leurs ouailles. Il y a, dans ia Somme le Roi do FrCre Lorens, quelque chose qui ressemble fort à notre bas-reliet (llisloire de l'ii'-li-el!ffieux,p.i6E ef 167). Voir (s description de la Palicncôdu Paiftis des Doges 4- face du T chapiteau (Sfones of Venke, I, V, g LXXI). — (Note du ïr&ducleur.) 1. Dans la cathâdcale de Laon il y a un joli compliment fût aui hœufs qui transportèrent les pierres de ses tours au sommet de le. montagne sur laquelle elle s'élève. Ltt tradilioa est qu'ils se harnachèrent euï-mfimes, ma's la tradition ne dit pas comment un bœuf peut se harnacher '.oî-même (*), même s'il en avait envie. Probablement lapremîé.-e forme du récit fui qu'ils allaient Joyeasement « en mugissant ». Mais, quoi qu'il en soit, leurs statues sont sculptées sur le haut des tours, au nombre de huit, colossales, regardant de ses galeries, à travers les plaines de France. Voyeî le dessin dans Viollet-le-Duo, aWicle Cloc/ier. —(Note de l'Auteur.) a. Cf. Sloaes of Yenice, I, v, lïxicvju. 3. Symbole de la douceur selon les théologiens parce qu'il se laisse prendre sans résistance ce qu'il a de plus précieux, son tait et sa iaîne (voir Maie). — (Note du Traducteur.) (') Voli" plus haut chapitre ni n La yie de Jétûme ne conwiencs pas comme eella d'un moine Palestice. Dean de Mijiiian Be nous a pas eiptiqué comcaent eoUo d'iiucua homme le pouiroH. » — Voir diins Maie (page 7Î) une légende de Guifiert do Nogent relative aujc bœofa de jLaon. — (Noie du Tiaducicur.)