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t’ à l’heure à Gaudot qu’est là : V’là les troés jours passés, i n’ vint |
t’ à l’heure à Gaudot qu’est là : V’là les troés jours passés, i n’ vint |
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nin, c’est i du malheur ! Et t’es là to d’ même ! L’ bon Dieu a eu |
nin, c’est i du malheur ! Et t’es là to d’ même ! L’ bon Dieu a eu |
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pitié ed’ moé. Mets-toé là une miette su’ |
pitié ed’ moé. Mets-toé là une miette su’ l’ banc, qué j’ t’ regarde. |
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T’as une belle mine, t’es comme un homme to neuf. |
T’as une belle mine, t’es comme un homme to neuf. |
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nouveau un battant de cloche lui cogner les parois du crâne. |
nouveau un battant de cloche lui cogner les parois du crâne. |
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— J’ croyais |
— J’ croyais qué j’ serais jamais rarrivé, bégayait-il, un sourire |
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d’innocent plaqué sur la bouche, en tournant partout des yeux très |
d’innocent plaqué sur la bouche, en tournant partout des yeux très |
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doux et vagues, comme pour refaire connaissance avec les |
doux et vagues, comme pour refaire connaissance avec les |
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