« Le Blason d’après les sceaux du Moyen-Âge » : différence entre les versions

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Six ''ours''. Jean, duc de Berri, vers 1408.
 
{{pagination|33}}[[Image:Demay p33.jpg|thumb|Jean, duc de Berri.|200px|center]]
 
<div style="text-align:center;">''Des cimiers.''</div>
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Les cimiers sont tantôt simples et tantôt composés de ou plutôt accompagnés. L'accompagnement comporte, d'ordinaire, une paire d'ailes qu'on nomme vol ou une paire de cornes entre lesquelles est placé le cimier proprement dit. Il est à noter que ce sont les vols ou les cornes qui répètent de préférence les pièces d'armoiries figurées sur l'écu.
 
{{pagination|34}}On a pris les cimiers aux mêmes sources que les supports. Mais comme les cimiers sont bien plus nombreux, force a été de subdiviser les sujets qu'ils doivent représenter, soit en les fractionnant, soit en variant leur posture. Dans le type humain on a employé des bustes, des têtes, des bras. Les animaux sont devenus passants, rampants, assis, à mi-corps ou issants ; on s'est servi des têtes, des cornes, des pieds.
 
De plus l'on a eu recours à des pièces artificielles représentant des objets fabriqués par la main de l'homme : des annelets, des boules, des buires, des chapeaux, des châteaux, des couteaux, des croissants, des globes, des haches d'armes, des lettres de l'alphabet, des plumails de diverses formes et de diverses matières, — plumails en aigrette, en crête, en éventail, en houppe, en touffe de plumes de paon ou de feuillage, — des roues, des tonneaux, etc.
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''Aigle''. — Philippe d'Artois, comte d'Eu, 1392, cime d'une aigle en vol. — Olivier de Mauny, 1368, Georges de la Trémouille, 1435, ciment d'une tête d'aigle. — Bertrand du Guesclin, 1365, d'une tête d'aigle dans un vol. — Les seigneurs de Sars, de Ville, au {{s|XV}}, ciment de deux serres.<br />
{{pagination|35}}''Ane''. — Henri de Bautersem, 1404, a pour cimier une tête d'âne. — Bureau de la Rivière, chambellan du roi, 1367, cime de deux oreilles d'âne reliées par une bande aux armes de l'écu. — Les Penhoët ciment de deux oreilles d'âne.<br />
''Annelet''. — La famille d'Ornes cime d'un annelet ; elle en a cinq dans son écu.<br />
''Arbre''. — Aimar de Vinay, 1350, porte pour cimier un arbre planté dans une terrasse entre deux cornes.<br />
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''Canette''. — Les Vaucler, 1381, ciment d'une canette ; ils en ont trois dans l'écu.<br />
''Cerf''. — Robert de Fiennes, connétable de France, 1358, Jean d'Acigné, 1380, Guillaume de soulages, 1393, Pierre de Mornay, 1383, ciment d'une tête de cerf.<br />
{{pagination|36}}''Chameau''. — Jean du Mez, 1404, porte en cimier une tête de chameau.<br />
''Château''. — Hervé du Châtel, 1387, Olivier du Châtel, 1427, ciment d'un château.<br />
''Cheval''. — Gaucher de Monteil, 1335, cime d'une tête de cheval entre deux damoiselles. — Jean de Saint-Omer, 1359, les Wattripont, {{s|XV}}, ciment d'une tête de cheval.<br />
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''Chouette''. — Hugues de Bouville, 1330, Philippe de Bourgogne, 1483, portent une chouette.<br />
''Coq''. — Sohier de la Vallée, 1427, cime d'un coq entre deux cornes. — Jean du Sages, 1375, d'une tête de coq. — Jean de Blumerey, 1359, de deux têtes de coq.<br />
''Cornes''. — Bernard, comte de Ventadour, 1355, cime de deux cornes. — Jean et Geoffroi de la Motte, 1380, de deux cornes aux bandes engrêlées de l'écu. — Gautier d'Antoing, 1391, Guérard du Boulay, 1405, deux cornes. — Robert du Plessis, 1381, Louis de Chalon, prince d'Orange, 1432, deux cornes de cerf. — Philippe, comte de Sarrebourg, {{pagination|37}}1460, cime de deux cornes de chamois. — Bouchard de Fenêtrange, 1360, de deux cornes de chèvre.<br />
''Couteaux''. — Guillaume et Robert l'Ardenois, seigneurs de Spontin, 1421, ciment de deux couteaux.<br />
''Croissant''. — Alain de Mauny, 1381, d'un croissant (aux armes).<br />
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''Dragon''. — Pierre de Luxembourg, 1428, cime d'un dragon. — Guillaume Lévêque, 1381, d'une tête de dragon dans un vol aux armes du chef de l'écu (des fleurs de lys).<br />
''Écureuil''. — Pierre de Poix cime d'un écureuil, 1517.<br />
''Fleur de lys''. — Les ducs de Bourgogne de la maison de France ciment d'une fleur de lys double, fleur de lys qu'on pouvait reconnaître dans tous les sens. — Louis, duc d'Orléans, 1401, Jean I{{er}}, duc de Bourbon, 1412, René d'Anjou, 1429, Pierre de Bourbon, comte de Clermont-en-Beauvoisis, {{pagination|38}}1462, Charles d'Artois, comte d'Eu, 1468, portent également en cimier la fleur de lys doublée. — Charles I{{er}}, duc de Bourbon, 1444, Charles, comte du Maine, 1445, ont la fleur de lys simple.<br />
''Gerbe''. — Les seigneurs de Vouécourt, {{s|XV}}, ciment d'une gerbe.<br />
''Griffon''. — Jean II, comte de Dammartin, 1361, cime d'un griffon. — Louis, bâtard du Maine, d'un griffon assis, 1475. — Waleran de Luxembourg, comte de Saint-Pol, 1404, d'un griffon issant. — Philippe de Habarcq, 1482, chambellan du roi, d'une tête de griffon.<br />
''Hache d'armes''. — Jean de la Souraye, 1381, cime de deux haches d'armes ; son écu porte également deux haches d'armes.<br />
''Héron''. — Jacques de Cantaing, 1389, cime d'une tête de héron.<br />
''Homme''. — Alexandre et Gui de Virton, 1366, ciment d'un moine tenant son chapelet. — Rollon de Sarley, 1425, d'un personnage en prière. — Charles de la Rivière, 1339, cime d'un buste d'homme barbu, les bras élevés. — Gérard de Maurage, 1427, d'une tête de roi. — Charles de Poitiers, 1378, d'une tête de vieillard. — Gérard d'Ecaussinnes, 1397, d'une tête d'homme coiffée d'un chaperon. — le Soudich de la Trau, 1364, d'une tête humaine à oreilles d'âne. — Jean de LavalLa{{pagination|39}}val, 1370, d'une tête de magicien. — Jean de Billy, 1467, d'une tête de Maure. — Jean de la Roche, 1354, cime de deux bras tenant chacun une aigrette. — Jean de Fontaines, 1411, cime d'un homme sauvage dans un vol. — Raimond-Arnaud, de Conrart, 1407, cime d'une damoiselle. — Louis de Montjoie, 1404, d'un buste de reine. — Jean d'Escauffour, d'un buste de femme, 1419. — Berthelot le Roux, 1381, d'une tête de femme.<br />
''Houseaux''. — Jacques du Sart, 1346, cime de deux houseaux.<br />
''Lettre R''. — Gautier du Ray, 1351, cime de son initiale couronnée et surmontée d'un panache.<br />
''Licorne''. — Hervé de Saint-Gouëno, 1373, cime d'une licorne. — Amauri de Fontenay, 1380, Antoine de Veres, 1486, d'une tête de licorne.<br />
''Lion''. — Baudoin de Constantinople, en 1197, porte un heaume cimé d'un lion. — Richard Cœur-de-Lion, 1198, a pour cimier un lion dans une aigrette en éventail. — Louis, vicomte de Thouars, 1337, cime d'un lion assis entre deux cornes de cerf. — Les comtes de Flandre, les duc /sic/ de Bretagne, ciment d'un lion assis. — Geoffroi d'Harcourt, 1339, cime d'un lion issant dans un vol. — Bouchard VII, comte de Vendôme, {{pagination|40}}1368, cime d'un lion issant qui rappelle le lion de l'écu. — Gérard de Tury, 1357, cime d'une tête de lion dans un vol. — Guillaume de le Hove, 1428, de deux pattes de lion.<br />
''Loup''. —Raoul de Raineval, 1381, Colard de Rambures, 1412, ciment d'une tête de loup, ainsi que Pierre d'Amboise, vicomte de Thouars, 1401.<br />
''Oie''. — Roland de Trémerrot, sire de Plumoison, 1381, cime d'une oie.<br />
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''Paon''. — Mathieu II de Montmorency, connétable de France en 1224, et Gui Pot, comte de Saint-Pol, 1488, ciment d'une tête de paon.<br />
''Pieds fourchus''. — Laurent Hauwel, 1368, Gilles du Loqueron, 1416, Pierre de Hénin, 1428, ciment de deux pieds fourchus.<br />
''Plumail''. — Philippe de Gournaux, 1352, cime d'une aigrette en éventail aux armes (des tours). — Gérard de Potte, 1333, d'une aigrette entre deux têtes de chèvre. — Eustache de la Houssaye, 1380, d'une crête échiquetée aux armes. — Gautier de Mauny, 1348, d'une touffe. — Louis de Navarre, comte de Beaumont-le-Roger, 1365, d'une touffe de plumes de paon ; ainsi que Jean VII d'Harcourt, 1410, et Charles I{{er}}, duc de {{pagination|41}}Bourbon, 1439. — Baudoin, comte de Guines, 1235, le connétable Bernard VII, comte d'Armagnac, vers 1408, ciment d'une touffe de feuillages. — Jean du Houx, 1380, Jean de la Houssaye, 1381, d'une touffe de feuilles de houx.<br />
''Poissons''. — Gérard de Sivry, 1427, cime d'un poisson.<br />
''Pomme de pin''. — Jean de Chalon, 1481.<br />
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''Sirène''. — Jean Rasoir, 1463, cime d'une sirène.<br />
''Tonneaux''. — Guillaume de Wargnies, 1363, Gilles des Prés, 1427, ciment de deux tonneaux.<br />
''Vol''. — Jean le Maingre, dit Boucicaut, 1366, {{pagination|42}}Jean de Rye, à la même date, Olivier de Clisson, 1387, Philippe de Lévis, 1415, ciment d'un vol. — Jean de Créhange, 1425, d'un vol aux armes : une fasce.
 
<div style="text-align:center;">''Volet. Lambrequins''</div>
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Dans certains types héraldiques sans supports, les deux pans du volet se développent dans le champ du sceau et répètent assez fréquemment les armoiries du personnage. Chez Hugues de Bouville, 1330, le volet reproduit le ''chevronné'' de l'écu. Le volet de Gaucher de Monteil, 1335, est aux armes de la famille, la ''croix de Toulouse brisée d'un estoc''. Sur le sceau de Gautier de Mauny, 1348, le volet d'''hermines'' rappelle seulement les armes de la Bretagne, son pays.
 
Au XV{{e}} et au XVI{{e}} siècle, on a tailladé profondément les bords du volet, et ces lambeaux courbés, hachés, enroulés se sont répandus dans le champ du sceau. On dirait plutôt un ornement {{pagination|43}}de feuillage qu'une pièce d'étoffe. Ce volet dégénéré s'est nommé, en termes de blason, ''hachements'', ''lambrequins''. Gui de Barbençon, 1428, — Raoul de Gaucourt, chambellan du roi, 1446, — Jean de Chalon, 1481, — Gui Pot, comte de Saint-Pol, 1488, — François d'Ailly, 1515, — Philippe de Lannoy, 1526, offrent dans leurs types des exemples variés de lambrequins.
 
<div style="text-align:center;">''Écus arrondis du bas, en losange, ronds, carrés ou en bannière, en palette, hexagones et de fantaisie''.</div>
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[[Image:Demay p43.jpg|thumb|Sicard Allemand.|200px|center]]
 
{{pagination|44}}''Écu en losange''. — Dès 1262, on rencontre la forme en losange, employée de préférence par les dames, rarement par les hommes. Isabelle de Saint-Vrain place, en 1262, son aigle éployée dans un écu en losange ;
 
[[Image:Demay p44.jpg|thumb|Isabelle de Saint-Vrain.|200px|center]]
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Catherine de Bourbon, femme de Jean VI, comte d'Harcourt, 1376, montre, au centre d'un quadrilobe, son initiale K, entourée de quatre écus en losange. On pourrait citer encore : Jeanne, femme de Charles de Blois, duc de Bretagne, 1369 ; Marguerite de Flandre, femme de Philippe le Hardi, duc de Bourgogne, 1403 ; Jeanne de Bourbon, comtesse d'Auvergne, 1502. Et parmi les hommes qui ont adopté l'écu en losange : Pierre de la Fauche, 1270 ; Jean I{{er}}, comte d'Armagnac, 1369.
 
''Écu en bannière''. — Les dames, au XV{{e}} siècle, ont souvent fait usage de l'écu en bannière, écu de forme carrée ou rectangulaire, qui figure aussi parfois sur les sceaux de chevaliers. Jeanne, {{pagination|45}}dame de Planes, offre, dans son type de 1376, un écu carré enfermé dans un quadrilobe.
 
[[Image:Demay p45a.jpg|thumb|Jeanne, dame de Planes.|200px|center]]
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[[Image:Demay p45b.jpg|thumb|Amauri VI, comte de Montfort.|200px|center]]
 
{{pagination|46}}''Écu rond''. — Des écus ronds se voient sur les sceaux de Louis, comte de Clermont-en-Beauvoisis, 1325, de Louis I{{er}} et de Louis II, ducs de Bourbon, 1331, 1394, de Gui de Rochefort, 1380, de Jean, duc de Berri, vers 1408, et chez certaines dames parmi lesquelles : Marie d'Espagne, deuxième femme de Charles de Valois, comte d'Alençon, 1347, Jeanne, duchesse de Bretagne, femme de Charles de Blois, en 1369. Dans ce dernier exemple, l'écu de Bretagne en losange est accompagné de quatre écus ronds, séparés par de petits anges jouant des instruments.
 
[[Image:Demay p46.jpg|thumb|Jeanne, duchesse de Bretagne.|200px|center]]
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''Écu en palette''. — Sur les sceaux d'Enguerran de Coucy, en 1380, d'Olivier de Clisson, connétable de France, 1397, un homme d'armes tient un écu en palette.
 
{{pagination|47}}[[Image:Demay p47a.jpg|thumb|Olivier de Clisson.|200px|center]]
 
''Écu hexagone''. — Un écu de forme hexagone se remarque dans le type de Marie Chamaillard, femme de Pierre II, comte d'Alençon, 1391.
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''Écu ovale''. — Un contre-sceau d'Alfonse de Portugal, second mari de Mathilde, comtesse de Boulogne, 1241, offre un échantillon d'écu ovale.
 
{{pagination|48}}[[Image:Demay p48a.jpg|thumb|Alfonse de Portugal.|200px|center]]
 
''Écu de fantaisie''. — La fantaisie est entrée aussi dans le domaine du blason, se plaisant à transformer en écus des objets inaccoutumés. Isabelle de Cirey, dame de Vaucouleurs, femme de Gautier de Joinville, 1298, nous montre les ''broies au lion issant'' des Joinville figurées sur une coquille. Les armes de Pierre de Navarre, comte de Mortain, 1404, ont été tracées sur une figue.
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L'écu droit de Jean de Blumerey, 1359, timbré {{pagination|49}}d'un heaume à volet et cimé de deux têtes de coq, présente tout à fait l'apparence d'un insecte ailé. Les têtes de coq figurent les antennes, le volet de vair simule les deux ailes ; il n'y a pas jusqu'au burelé de l'écu qui, rappelant les bandes de l'abdomen, ne servent à compléter l'illusion.
 
[[Image:Demay p49.jpg|thumb|Jean de Blumerey.|200px|center]]
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<div style="text-align:center;">''Des brisures''</div>
 
On entend par brisure certaine marque distinctive que les branches cadettes ou collatérales devaient introduire dans le blason de leur famille. Au chef seul de la maison appartenait le droit de porter des armes pleines. La nature de ce travail ne comporte pas une excursion dans le domaine de la science du blason qui est expliquée dans bien des livres. Je me bornerai à montrer, par deux exemples, les brisures s'établissant à l'origine des {{pagination|50}}armoiries<ref>M. A. de Barthélémy en avait fait aussi la remarque, opus laud., page 14.</ref>. Richard de Vernon, 1195, a sur son écu un sautoir ; son fils Richard ajoute au sautoir paternel une pièce particulière nommée lambel. Étienne du Perche porte trois chevrons brisés d'un lambel, tandis que Geoffroi III, comte du Perche, son frère aîné, porte, 1197, les trois chevrons pleins, c'est-à-dire sans brisure.
 
J'ajouterai en terminant, qu'au XIII{{e}} siècle, les fils aînés de la maison de France ne prenaient pas de brisure. Louis, fils aîné de Philippe-Auguste, 1214, Philippe, fils aîné de saint Louis, 1267, portent le semé de fleurs de lys plein.
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La fleur de lys s'héraldise sous Philippe-Auguste. Quant au fleuron ornant la couronne et le sceptre de nos rois, on le rencontre aussi loin que l'on peut remonter à l'aide des sceaux et des manuscrits à miniatures, c'est-à-dire jusqu'à Charlemagne. La Vierge, à partir du XI{{e}} siècle ne portant plus cet attribut, ne saurait l'avoir transmis à nos souverains.
 
{{pagination|51}}Les armoiries figurent à leur début, dans le type chevaleresque, se posant d'abord sur l'écu, envahissant bientôt après le harnais du cavalier et le harnachement du cheval.
 
Il ressort encore de l'étude des sceaux qu'on ne doit pas accepter sans restriction l'opinion qui consiste à faire engendrer les premières pièces héraldiques par l'armature du bouclier, ni oublier que les réductions successives apportées à la dimension de l'écu tenaient surtout au perfectionnement de l'habillement défensif.
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Un des plus anciens volets date de 1322. Il est des types où le volet reproduit les armes du personnage.
 
Il s'est produit, indépendamment de la forme triangulaire, diverses autres formes d'écu, y compriscom{{pagination|51}}pris certaines exceptions qui ne relèvent que de la fantaisie.
 
Enfin l'existence de brisures à l'origine des armoiries a été constatée avec cette remarque que les fils aînés de la maison de France, au XIII{{e}} siècle, n'étaient pas soumis à cette règle.