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trouva débarrassé par la mort de son père, du frein
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de la crainte ou de la décence, Rome gémit sous la
de la crainte ou de la décence, Rome gémit sous la
tyrannie d’un monarque qui joignait à la folie d'[[:w:Héliogabale|Héliogabale]], la cruauté de [[:w:Domitien|Domitien]] (<ref>[[:w:Flavius Vopiscus|Vopiscus]], ''Hist. Aug.'', p. 203, 264 ; [[:w:Eutrope (historien)|Eutrope]], {{sc|ix}}, 19 ; Victor le jeune. À la vérité, le règne de Dioclétien fut si long et si florissant, qu’il a dû nuire beaucoup à la réputation de Carin.</ref>).
tyrannie d’un monarque qui joignait à la folie d’[[:w:Héliogabale|Héliogabale]], la cruauté de [[:w:Domitien|Domitien]] (<ref>[[:w:Flavius Vopiscus|Vopiscus]], ''Hist. Aug.'', p. 203, 264 ; [[:w:Eutrope (historien)|Eutrope]], {{sc|ix}}, 19 ; Victor le jeune. À la vérité, le règne de Dioclétien fut si long et si florissant, qu’il a dû nuire beaucoup à la réputation de Carin.</ref>).


<span class="ws-noexport">{{Notedemarge|marge=right|largeur=50|text=Il célèbre des jeux à Rome.}}</span>{{ancre|ch12.33}}Le seul mérite que l’histoire ou la poésie ait remarqué dans l’administration de Carin, fut la splendeur extraordinaire avec laquelle, en son nom et
<span class="ws-noexport">{{Notedemarge|marge=right|largeur=50|text=Il célèbre des jeux à Rome.}}</span>{{ancre|ch12.33}}Le seul mérite que l’histoire ou la poésie ait remarqué dans l’administration de Carin, fut la splendeur extraordinaire avec laquelle, en son nom et
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vaine prodigalité que pouvait dédaigner la prudence
vaine prodigalité que pouvait dédaigner la prudence
de Dioclétien, excita la surprise et les transports du
de Dioclétien, excita la surprise et les transports du
peuple. Les vieillards, se rappelant la pompe triomphale de [[:w:Probus (empereur)|Probus]], celle d'[[:w:Aurélien (empereur romain)|Aurélien]] et les jeux séculaires de l’empereur [[:w:Philippe l'Arabe|Philippe]], avouaient que ces<ref follow=p292>son frère Carin, le gouvernement des provinces occidentales. (Vopisc., ''in Caro.'') (''Note de l'Éditeur''.)</ref>
peuple. Les vieillards, se rappelant la pompe triomphale de [[:w:Probus (empereur)|Probus]], celle d’[[:w:Aurélien (empereur romain)|Aurélien]] et les jeux séculaires de l’empereur [[:w:Philippe l'Arabe|Philippe]], avouaient que ces<ref follow=p292>son frère Carin, le gouvernement des provinces occidentales. (Vopisc., ''in Caro.'') (''Note de l’Éditeur''.)</ref>