« Page:La Brière - Champollion inconnu.djvu/79 » : différence entre les versions
mAucun résumé des modifications |
|||
État de la page (Qualité des pages) | État de la page (Qualité des pages) | ||
- | + | Page validée | |
Contenu (par transclusion) : | Contenu (par transclusion) : | ||
Ligne 3 : | Ligne 3 : | ||
{{petit titre|CHAMPOLLION POÈTE}} |
{{petit titre|CHAMPOLLION POÈTE}} |
||
Ligne 8 : | Ligne 9 : | ||
L’âme du savant n’est pas une âme sèche et froide. Il a écrit lors d’une épreuve : |
L’âme du savant n’est pas une âme sèche et froide. Il a écrit lors d’une épreuve : |
||
{{brn|0.5}} |
|||
{{Citation début 2}} |
{{Citation début 2}} |
||
L’amour et l’amitié remplissent mon âme tout entière : sans eux je serais bien à plaindre ! |
L’amour et l’amitié remplissent mon âme tout entière : sans eux je serais bien à plaindre ! |
||
{{Citation fin 2}} |
{{Citation fin 2}} |
||
{{brn|0.5}} |
|||
Et il compare poétiquement les deux sentiments : |
Et il compare poétiquement les deux sentiments : |
||
{{brn|0.5}} |
|||
{{Citation début 2}} |
{{Citation début 2}} |
||
L’amour a des ailes : l’amitié n’en a point, elle reste. L’amour a presque toujours un bandeau : l’amitié a des yeux de lynx, elle veille au bonheur de l’aimé. |
L’amour a des ailes : l’amitié n’en a point, elle reste. L’amour a presque toujours un bandeau : l’amitié a des yeux de lynx, elle veille au bonheur de l’aimé. |
||
{{Citation fin 2}} |
{{Citation fin 2}} |
||
{{brn|0.5}} |
|||
Il écrit encore à son fidèle, Augustin Thévenet : |
Il écrit encore à son fidèle, Augustin Thévenet : |
||
{{brn|0.5}} |
|||
{{Citation début 2}} |
{{Citation début 2}} |
||
Le découragement est sur le point de me gagner. C’est alors que j’appelle à mon secours toute ma philosophie. Mais, pour |
Le découragement est sur le point de me gagner. C’est alors que j’appelle à mon secours toute ma philosophie. Mais, pour |