« Page:Vivien - La Vénus des aveugles, 1904.djvu/112 » : différence entre les versions
→Page non corrigée : Page créée avec « LES OLIVIERS Et je regrette et je cherche... PSAPPHA. <poem> Les oliviers, changeants et frais comme l... » |
(Aucune différence)
|
Version du 22 mai 2014 à 14:33
Cette page n’a pas encore été corrigée
LES OLIVIERS
Et je regrette et je cherche... PSAPPHA.
Les oliviers, changeants et frais comme les vagues,
Recueillent gravement tes murmures légers,
Psappha, Divinité des temples d'orangers,
Dont le chant surpassa le chant des étrangers...
La montagne a des plis musicalement vagues...